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La France privilégie le maintien des élections locales en juin #

4/2/2021, 8:17 PM
Paris, FRA

Le gouvernement français a confirmé qu'il privilégiait "à ce stade" le maintien en juin des élections régionales et départementales, avant de consulter les partis politiques et un débat au Parlement, selon un rapport au Parlement que l'AFP s'est procuré vendredi.

"Le gouvernement relève que le comité de scientifiques ne recommande pas de manière claire et explicite un report des élections convoquées les 13 et 20 juin. A ce stade, c'est donc le scénario du maintien des élections aux dates prévues qui est privilégié par Le gouvernement", selon ce rapport.

Les nouvelles mesures de restrictions pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 annoncées mercredi par le président français Emmanuel Macron et celles "relatives à l'accélération de la vaccination devraient avoir pour effet d'améliorer la situation sanitaire à l'échéance du mois de juin", fait valoir le gouvernement.

Mais pour maintenir ces élections, "il convient de s'assurer que l'ensemble des conditions formulées par le comité de scientifiques (qui conseille l'exécutif pendant la crise sanitaire) doit pouvoir être satisfait et que leur mise en oeuvre concrète ne vient pas altérer la libre expression du vote", souligne-t-il.

"Le Premier ministre a transmis le rapport aux formations politiques. Elles doivent donner leur position avant jeudi soir prochain. Il y aura ensuite un débat au Parlement, peut-être dès la semaine suivante", a précisé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal dans le journal Le Figaro.

"Un pays qui vit, c'est une démocratie qui fonctionne, et celle-ci ne peut être sacrifiée. Cela veut dire une vraie campagne, de vrais débats, un vote dans de bonnes conditions", a-t-il ajouté.

A l'heure actuelle, la quasi-totalité des formations politiques se sont dites favorables au maintien en juin de ces élections locales, initialement prévues pour mars, puis décalées pour cause de crise sanitaire.

Le calendrier fixé au moment de l'approbation cet hiver du renvoi de ces scrutins prévoyait une clause de revoyure pour confirmer début avril les dates de juin sur la base de l'avis du Conseil scientifique.

jmt-are/dch/fio/bds

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APR 2

Covid: le gouvernement confirme privilégier le maintien des régionales en juin #

4/2/2021, 7:50 PM
Paris, FRA

Le gouvernement confirme qu'il privilégie "à ce stade" le maintien en juin des élections régionales et départementales, avant de consulter les partis politiques et un débat au Parlement, selon un rapport au Parlement que l'AFP s'est procuré vendredi.

"Le gouvernement relève que le comité de scientifiques ne recommande pas de manière claire et explicite un report des élections convoquées les 13 et 20 juin. A ce stade, c'est donc le scénario du maintien des élections aux dates prévues qui est privilégié par Le gouvernement", selon ce rapport.

Les nouvelles mesures de restrictions pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 annoncées mercredi par le président de la République et celles "relatives à l'accélération de la vaccination devraient avoir pour effet d'améliorer la situation sanitaire à l'échéance du mois de juin", fait valoir le gouvernement.

Mais pour maintenir ces élections, "il convient de s'assurer que l'ensemble des conditions formulées par le comité de scientifiques doit pouvoir être satisfait et que leur mise en oeuvre concrète ne vient pas altérer la libre expression du vote", souligne-t-il.

"Le Premier ministre a transmis le rapport aux formations politiques. Elles doivent donner leur position avant jeudi soir prochain. Il y aura ensuite un débat au Parlement, peut-être dès la semaine suivante", a précisé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal dans le Figaro.

"Un pays qui vit, c'est une démocratie qui fonctionne, et celle-ci ne peut être sacrifiée. Cela veut dire une vraie campagne, de vrais débats, un vote dans de bonnes conditions", a-t-il ajouté.

A ce stade, la quasi-totalité des formations politiques se sont dites favorables au maintien des scrutins en juin.

Devant le Sénat jeudi, Jean Castex avait indiqué que le gouvernement privilégiait "à ce stade" le maintien en juin des deux scrutins, déjà repoussés de mars à juin en raison de la crise sanitaire.

Il avait ajouté qu'"un débat fondé sur l'article 50-1 de la Constitution sera organisé au Parlement" après la concertation avec les partis et associations d'élus.

jmt-are/jk/cbn

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APR 2

La France privilégie le maintien des élections locales en juin #

4/2/2021, 3:04 PM
Paris, FRA

Le gouvernement français confirme qu'il privilégie "à ce stade" le maintien en juin des élections régionales et départementales, sans donner encore de dates pour la "concertation" promise des groupes parlementaires et des partis politiques, selon un rapport au Parlement que l'AFP s'est procuré vendredi.

"Le gouvernement relève que le comité de scientifiques ne recommande pas de manière claire et explicite un report des élections convoquées les 13 et 20 juin. A ce stade, c'est donc le scénario du maintien des élections aux dates prévues qui est privilégié par Le gouvernement", selon ce rapport.

Les nouvelles mesures de restrictions pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 annoncées mercredi par le président français Emmanuel Macron et celles "relatives à l'accélération de la vaccination devraient avoir pour effet d'améliorer la situation sanitaire à l'échéance du mois de juin", fait valoir le gouvernement.

Mais pour maintenir ces élections, "il convient de s'assurer que l'ensemble des conditions formulées par le comité de scientifiques (qui conseille l'exécutif pendant la crise sanitaire) doit pouvoir être satisfait et que leur mise en oeuvre concrète ne vient pas altérer la libre expression du vote", souligne-t-il.

Le gouvernement ne donne cependant aucune date pour la "concertation" qu'il a promis d'engager ensuite avec les groupes parlementaires, les partis politiques et les associations d'élus locaux.

A l'issue de ces consultations, le gouvernement "présentera au parlement les conclusions qu'il en tire".

La classe politique française est partagée sur un nouveau report des élections locales, initialement prévues en mars et une première fois décalées à juin pour cause de crise sanitaire.

Le calendrier fixé lors de l'approbation cet hiver du renvoi de ces scrutins prévoyait une clause de revoyure pour confirmer début avril les dates de juin sur la base de l'avis du Conseil scientifique.

jmt-are/dch/fio

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APR 2

Covid: le gouvernement confirme privilégier le maintien des régionales en juin #

4/2/2021, 2:50 PM
Paris, FRA

Le gouvernement confirme qu'il privilégie "à ce stade" le maintien en juin des élections régionales et départementales, sans donner encore de dates pour la "concertation" promise des groupes parlementaires et des partis, selon un rapport au Parlement que l'AFP s'est procuré vendredi.

"Le gouvernement relève que le comité de scientifiques ne recommande pas de manière claire et explicite un report des élections convoquées les 13 et 20 juin. A ce stade, c'est donc le scénario du maintien des élections aux dates prévues qui est privilégié par Le gouvernement", selon ce rapport.

Les nouvelles mesures de restrictions pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 annoncées mercredi par le président de la République et celles "relatives à l'accélération de la vaccination devraient avoir pour effet d'améliorer la situation sanitaire à l'échéance du mois de juin", fait valoir le gouvernement.

Mais pour maintenir ces élections, "il convient de s'assurer que l'ensemble des conditions formulées par le comité de scientifiques doit pouvoir être satisfait et que leur mise en oeuvre concrète ne vient pas altérer la libre expression du vote", souligne-t-il.

Le gouvernement ne donne cependant aucune date pour la "concertation" qu'il a promis d'engager ensuite avec les groupes parlementaires, les partis politiques et les associations d'élus locaux.

A l'issue de ces consultations, le gouvernement "présentera au parlement les conclusions qu'il en tire".

Devant le Sénat jeudi, le Premier ministre Jean Castex avait indiqué que le gouvernement privilégiait "à ce stade" le maintien en juin des deux scrutins, déjà repoussés de mars à juin en raison de la crise sanitaire.

jmt-are/dch

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APR 2

Peltier (LR) lance son micro-parti pour mener une "réflexion programmatique" #

4/2/2021, 10:11 AM
Paris, FRA

Le numéro 2 de LR Guillaume Peltier a lancé son micro-parti "Ensemble avec Guillaume Peltier", un outil de "réflexion programmatique" sans visée électorale, a-t-il affirmé vendredi à l'AFP, confirmant une information du Parisien.

"L'idée est de participer au débat d'idées avec un outil programmatique, intellectuel", assure le vice-président délégué des Républicains, qui compte engager une "consultation sur les idées" auprès des 262.000 abonnés à sa newsletter, dont "plus de la moitié ne sont pas adhérents LR".

Il s'agit de "s'adresser à ce noyau de la droite qui n'est pas que LR", ajoute Guillaume Peltier, qui espère présenter les grandes lignes de ces idées "au début de l'été".

Le député du Loir-et-Cher, qui se targue de disposer d'un "vrai réseau de sympathisants de droite" après avoir mené une dizaine de tours de France ces douze dernières années, avait déjà lancé en 2017 "Les amis de Guillaume Peltier", association active en Sologne pour organiser des événements locaux. Le micro-parti se veut un "label complémentaire" et une déclinaison idéologique de cette structure et de la newsletter.

A un an de la présidentielle, et alors que la droite s'interroge sur la désignation de son candidat, le vice-président délégué de LR réfute toute ambition électorale: "si je voulais être candidat, je dirais autrement", assure ce proche de Xavier Bertrand, qui partage avec lui une ligne de droite sociale et ferme sur le régalien.

cg/ggy/vk

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APR 2

Régionales: "si je perds, c'en sera terminé de ma vie politique", estime Bertrand #

4/2/2021, 8:31 AM
Paris, FRA

Le président (ex-LR) des Hauts-de-France Xavier Bertrand, candidat déclaré à la présidentielle, a assuré vendredi que s'il perdait aux régionales de juin, "c'en sera terminé de (sa) vie politique".

"C'est une question de légitimité" car "si six ans après (l'élection à la tête de la région, NDLR) je n'ai pas la confiance" des électeurs des Hauts-de-France, "je ne peux pas aller solliciter la confiance de 67 millions de Français", a-t-il expliqué sur franceinfo.

"Les choses sont très claires: si je perds, c'en sera terminé de ma vie politique", a ajouté celui qui se présente comme un candidat "libre, indépendant" des partis, même s'il garde de "bons rapports" avec son ancien parti Les Républicains.

Xavier Bertrand avait pris de court ses potentiels rivaux à droite le 25 mars en officialisant sa candidature à la présidentielle, tout en réitérant son refus de passer par une primaire. "Ma primaire, ça sera le scrutin régional des Hauts-de-France", avait-il affirmé en août dernier à Corse-Matin, dans l'interview où il engageait son premier pas vers une candidature.

Déroulant les grands axes du programme exposé dans une interview au Point la semaine dernière, M. Bertrand a dit vouloir proposer aux Français "un vrai rassemblement" et "une autre voie", autour du "rétablissement de l'autorité, de la valeur travail et d'un changement de société" à travers les "territoires".

S'il est élu, il soumettra aux Français par référendum "à l'automne" 2022 une modification de la Constitution permettant de créer une peine de sûreté de 50 ans pour les auteurs d'actes terroristes.

Sur la question migratoire, il a plaidé pour une politique de "quotas en fonction des métiers dont on a besoin" et la "fin du laxisme". Il a aussi prôné de "mobiliser les entreprises" sur la question du temps de travail, avec l'idée que "si on travaille plus il faut forcément gagner plus".

ggy/cg/or

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APR 1

Régionales: Castex privilégie "à ce stade" le maintien des élections en juin #

Le gouvernement privilégie "à ce stade" le maintien en juin des élections régionales et départementales si les conditions sanitaires peuvent être respectées sans "altérer l'expression libre et sécurisée du vote de nos concitoyens", a affirmé jeudi Jean Castex au Sénat.

Le Premier ministre a rappelé avoir reçu lundi un "avis particulièrement balancé" du Conseil scientifique, qui "ne préconise pas explicitement un report des élections", lors d'une allocution revenant sur les mesures de restrictions prononcées la veille par Emmanuel Macron.

"C'est donc clairement le scénario de leur maintien que nous privilégions à ce stade", a-t-il assuré. Ces élections ont déjà été repoussées de mars à juin en raison de la crise sanitaire.

Selon le chef du gouvernement, les mesures annoncées la veille par Emmanuel Macron pour freiner la troisième vague et l'accélération de la vaccination "devraient avoir pour effet d'améliorer la situation sanitaire à l'échéance du mois de juin".

Mais M. Castex a prévenu que "le Conseil scientifique formulait des recommandations précises quant aux conditions de l'organisation et de la tenue de ces élections" et rappelé que les nouvelles restrictions annoncées la veille "pourraient avoir un effet sur le déroulement de la campagne".

"Nous avons donc le devoir de nous assurer que l'ensemble de ces conditions pourront être effectivement satisfaites et que leur mise en oeuvre très concrète ne viendra pas altérer l'expression libre et sécurisée du vote de nos concitoyens", a expliqué le chef du gouvernement.

Il a réitéré devant les sénateurs sa volonté, annoncée le matin à l'Assemblée nationale, d'organiser un débat au Parlement, après avoir consulté les partis politiques, sur la possibilité de maintenir ces scrutins les 13 et 20 juin.

Il engagera ainsi "sans délai une consultation des partis politiques représentés au Parlement (...) et des associations d'élus locaux".

Une fois ce tour de table réalisé, "la décision sera rendue par le gouvernement la semaine prochaine", a précisé sur BFMTV le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.

Et dans la foulée "un débat fondé sur l'article 50-1 de la Constitution sera organisé au Parlement", a indiqué le Premier ministre.

A ce stade, la quasi-totalité des formations politiques se sont dites pour le maintien des scrutins en juin.

"Je suis favorable à ce que notre démocratie puisse continuer à vivre le plus normalement et donc évidemment, si on peut les maintenir, j'y suis favorable", a abondé M. Attal jeudi.

jmt-arz/cs/caz

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APR 1

France: Marine Le Pen va quitter la tête de son parti en vue de la présidentielle de 2022 #

La cheffe de file de l'extrême droite française Marine Le Pen a confirmé son prochain départ de la présidence du Rassemblement national (RN), qui pourrait avoir lieu après l'été, en vue de sa candidature à l'élection présidentielle en France en 2022.

"Au prochain congrès, non, car c'est un congrès qui va légitimer le candidat à l'élection présidentielle, et il me faut donc d'abord être réélue, mais ensuite, oui, car il est nécessaire que je ne sois pas seulement la candidate du RN", a déclaré la cheffe du RN dans un entretien au mensuel français L'Incorrect, proche de sa nièce Marion Maréchal, qui lui demandait si elle confirmait son départ de la tête du parti.

"Avec une possibilité de victoire (à l'élection présidentielle, ndlr) qui n'a jamais été aussi importante qu'aujourd'hui, je me dois d'être la candidate de tous ceux qui veulent mener le combat national", a-t-elle fait valoir.

La dirigeante d'extrême droite avait déclaré en février qu'elle "réfléchissait" à abandonner la présidence de son parti pour être la "candidate de tous les Français" tout "en étant évidemment soutenue" par son mouvement.

Selon le numéro deux du parti, Jordan Bardella, pressenti pour lui succéder, le départ de Marine Le Pen de la présidence du RN aura lieu "probablement après l'été".

Le RN tiendra auparavant son 17e congrès à Perpignan (sud) début juillet, qui devrait valider sans surprise la candidature de Marine Le Pen à la présidentielle.

La cheffe du RN s'était déjà mise "en congé" de la présidence du parti entre les deux tours de la présidentielle française de 2017.

are/npk/caz/dlm

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APR 1

Marine Le Pen confirme son prochain départ de la présidence du RN #

4/1/2021, 1:06 PM

Marine Le Pen a confirmé son prochain départ de la présidence du Rassemblement national, qui pourrait avoir lieu après l'été, pour être la candidate à l'Elysée de "tous ceux qui veulent mener le combat national".

"Au prochain congrès, non, car c'est un congrès qui va légitimer le candidat à l'élection présidentielle, et il me faut donc d'abord être réélue, mais ensuite, oui, car il est nécessaire que je ne sois pas seulement la candidate du RN", a déclaré la cheffe du RN dans un entretien au mensuel L'Incorrect, proche de sa nièce Marion Maréchal, qui lui demandait si elle confirmait son départ de la tête du parti.

"Avec une possibilité de victoire qui n'a jamais été aussi importante qu'aujourd'hui, je me dois d'être la candidate de tous ceux qui veulent mener le combat national", a-t-elle fait valoir.

La dirigeante d'extrême droite avait déclaré en février qu'elle "réfléchissait" à abandonner la présidence de son parti pour être la "candidate de tous les Français" tout "en étant évidemment soutenue" par son mouvement.

Selon le numéro deux du parti, Jordan Bardella, pressenti pour lui succéder, le départ de Marine Le Pen de la présidence du RN aura lieu "probablement après l'été".

Le RN tiendra auparavant son 17e congrès à Perpignan début juillet, qui devrait valider sans surprise la candidature de Marine Le Pen à la présidentielle.

La cheffe du RN s'était déjà mise "en congé" de la présidence du parti entre les deux tours de la présidentielle de 2017.

are/npk/caz

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LocationParis - FRA
Date4/1/2021, 1:06 PM