Macron a proposé à Biden de régler le litige opposant Airbus et Boeing, selon CNBC #
Le président français Emmanuel Macron a suggéré lors d'une conversation téléphonique à son homologue américain Joe Biden que les deux pays règlent le vieux litige opposant les géants de l'aéronautique Boeing et Airbus, selon la chaîne d'informations financières CNBC.
Le nouveau locataire de la Maison Blanche n'a pas souhaité s'engager fermement sur le sujet lors de cet entretien datant du 24 janvier, suggérant simplement que les équipes pertinentes s'emparent du sujet, a ajouté mercredi le média en citant une source proche du dossier.
Les comptes-rendus de la discussion entre les deux chefs d'Etat, aussi bien côté français qu'américain, ne mentionnent pas que le sujet a été abordé.
"Nous savons qu'il y a un fort intérêt à résoudre le conflit Boeing-Airbus sur les deux rives de l'Atlantique", a déclaré à l'AFP Adam Hodge, un porte-parole du Haut représentant au Commerce (USTR), refusant néanmoins de confirmer ou d'infirmer les informations de CNBC.
"L'USTR a hâte de travailler avec les alliés européens pour trouver une issue équitable une fois que l'ambassadrice (Katherine) Tai aura été confirmée" dans ses nouvelles fonctions par le Sénat, a ajouté M. Hodge.
Airbus et Boeing, et à travers eux l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis, s'affrontent depuis octobre 2004 devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC) sur les aides publiques versées aux deux groupes, jugées illégales, dans le conflit commercial le plus long traité par le juge de paix des échanges mondiaux.
Les deux entreprises ont chacune obtenu des décisions en leur faveur.
Les Etats-Unis ont été autorisés fin 2019 à imposer des taxes sur près de 7,5 milliards de dollars de biens et services européens importés chaque année.
L'UE a été autorisée un an plus tard à mettre en place des taxes sur des produits importés des Etats-Unis et impose depuis début novembre 4 milliards de dollars d'exportations américaines.
Fin décembre, à trois semaines de la fin de son mandat, l'administration Trump a toutefois annoncé des droits de douane supplémentaires sur des produits français et allemands, des vins non pétillants et cognacs, et des pièces aéronautiques jusque-là épargnées.
Ils s'ajoutaient à ceux déjà imposés depuis 2019 sur des importations européennes comme le vin, le fromage, l'huile d'olive ou le whisky, ainsi que sur les avions d'Airbus.
Lors de leur entrée en vigueur le 12 janvier, Bruxelles avait dit "regretter" cette initiative et avait exprimé l'espoir de pouvoir solder le litige après l'entrée en fonctions de la nouvelle administration.
jum-lo/iba
Macron a proposé à Biden de régler le litige opposant Airbus et Boeing, selon CNBC #
Le président français Emmanuel Macron a suggéré lors d'une conversation téléphonique à son homologue américain Joe Biden que les deux pays règlent le vieux litige opposant les géants de l'aéronautique Boeing et Airbus, selon la chaîne d'informations financières CNBC.
Le nouveau locataire de la Maison Blanche n'a pas souhaité s'engager fermement sur le sujet lors de cet entretien datant du 24 janvier, suggérant simplement que les équipes pertinentes s'emparent du sujet, a ajouté mercredi le média en citant une source proche du dossier.
Les compte-rendus de la discussion entre les deux chefs d'Etat, aussi bien côté français qu'américain, ne mentionnent pas que le sujet a été abordé.
Contactés par l'AFP, la Maison Blanche, le départment du Commerce et les services du Haut représentant au Commerce (USTR) n'ont pas répondu dans l'immédiat.
Airbus et Boeing, et à travers eux l'Union européenne (UE) et les États-Unis, s'affrontent depuis octobre 2004 devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC) sur les aides publiques versées aux deux groupes, jugées illégales, dans le conflit commercial le plus long traité par le juge de paix des échanges mondiaux.
Les deux entreprises ont chacune obtenu des décisions en leur faveur.
Les États-Unis ont été autorisés fin 2019 à imposer des taxes sur près de 7,5 milliards de dollars de biens et services européens importés chaque année.
L'UE a été autorisée un an plus tard à mettre en place des taxes sur des produits importés des États-Unis et impose depuis début novembre 4 milliards de dollars d'exportations américaines.
Fin décembre, à trois semaines de la fin de son mandat, l'administration Trump a toutefois annoncé des droits de douane supplémentaires sur des produits français et allemands, des vins non pétillants et cognacs, et des pièces aéronautiques jusque-là épargnées.
Elles s'ajoutaient à celles déjà imposées depuis 2019 sur des importations européennes comme le vin, le fromage, l'huile d'olive ou le whisky, ainsi que sur les avions d'Airbus.
Lors de leur entrée en vigueur le 12 janvier, Bruxelles avait dit "regretter" cette initiative et avait exprimé l'espoir de pourvoir solder le litige après l'entrée en fonction de la nouvelle administration.
jum/lo/nth
Twitter se porte bien sans Trump #
Twitter va très bien même sans Donald Trump, a fait savoir Jack Dorsey, le fondateur du réseau social qui s'est félicité de la croissance du nombre d'utilisateurs pendant les élections américaines, mais aussi après sa décision de bannir l'ancien président pour incitations répétées à la violence.
"Notre plateforme est plus large qu'un sujet ou que tel ou tel compte", a-t-il déclaré mardi lors d'une conférence aux analystes sur les résultats trimestriels de la société.
"80% de notre audience se trouve hors des Etats-Unis, et nous avons plus de 50 comptes suivis par plus de 25 millions de personnes".
En janvier, après l'invasion du Capitole par des partisans du milliardaire républicain, Twitter a suspendu puis supprimé le profil de Donald Trump. Le réseau s'est aussi purgé de nombreux comptes extrémistes qui le soutenaient, dont 70.000 affiliés à la mouvance conspirationniste QAnon.
L'éviction de Donald Trump, dont le compte était suivi par 88 millions d'abonnés, n'a pas été du goût de ses fans, ni de certains défenseurs des libertés en ligne, qui y ont vu le signe d'un pouvoir démesuré des plateformes.
Mais "l'augmentation moyenne du nombre d'utilisateurs quotidiens dits +monétisables+ fin janvier était supérieure à la moyenne historique des quatre dernières années", a rassuré le patron.
"Nous nous attendons à une croissance d'environ 20% sur un an" pour le trimestre en cours.
Ces propos étaient très attendus car le modèle économique de Twitter repose sur la publicité, qui se vend d'autant plus cher que les usagers sont nombreux et actifs sur la plateforme.
"La vie sans Trump se révèle être non seulement moins énervante mais aussi beaucoup moins dommageable pour le réseau social que nombre d'entre nous l'aurait pensé", a réagi l'analyste Rob Enderle du Enderle Group.
"Il attirait beaucoup d'audience, mais c'était très concentré sur lui. Je ne suis pas sûr que les gens lisaient les pubs".
Le réseau des gazouillis est parvenu à une fréquentation quotidienne de 192 millions d'usagers dits "monétisables", en moyenne, au quatrième trimestre de 2020, soit un bond de 27% en un an.
"Twitter a terminé une année 2020 turbulente avec une bonne performance au quatrième trimestre. Les améliorations techniques ont amélioré l'expérience des utilisateurs et ont été payantes", a commenté Nazmul Islam, analyste chez eMarketer.
Le groupe californien a dépassé les attentes du marché avec près d'1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires généré d'octobre à décembre 2020 (contre 1 milliard sur la même période en 2019).
Il en a ressorti 222 millions de dollars de bénéfice net (+87%) et 252 millions de bénéfice opérationnel, un record.
Mais ses dépenses grimpent aussi. Elles ont progressé de 21% au quatrième trimestre, et devraient encore enfler de 25% sur l'année 2021, "étant donné les décisions en termes d'embauches et d'investissements des dernières années", précise le groupe dans un communiqué.
La plateforme a lancé de nouveaux produits l'année dernière, dont les "fleets", des messages qui disparaissent au bout de 24 heures, et prépare de nouvelles fonctionnalités, notamment des salons "audio" de conversations en direct et de potentiels tweets vocaux.
Elle travaille aussi à de nouvelles formes de modération, plus "décentralisées" après une année d'échanges particulièrement tendus à cause de la politique américaine.
"Au final, ce sont les personnes qui utilisent Twitter qui sont les mieux placées pour résoudre ce problème", a indiqué Jack Dorsey.
Fin janvier, le réseau a lancé Birdwatch, en phase de test. Ce nouvel outil de lutte contre la désinformation permet aux participants de signaler des messages et d'y ajouter des notes de contexte qui seront lisibles uniquement sur un site séparé dans un premier temps.
L'entreprise voudrait aussi donner du pouvoir aux usagers sur les algorithmes qui guident leur navigation.
"On peut imaginer que vous classiez les algorithmes en fonction de ce que vous voulez voir", a suggéré le patron.
Twitter est aussi revenu sur la menace que représente la dernière mise à jour du système d'exploitation mobile iOS d'Apple pour les réseaux sociaux gratuits.
Prévue pour cette année, elle va obliger les éditeurs d'applications à demander aux usagers leur permission pour les suivre à la trace et à leur préciser quelles données ils récoltent sur eux à des fins de ciblage publicitaire.
"Si la pandémie continue de reculer et que l'impact des changements liés à iOS 14 sont modérés, nous tablons sur une croissance plus rapide de nos revenus que de nos dépenses en 2021", note le groupe.
Pour le premier trimestre en cours, Twitter prévoit un chiffre d'affaires compris entre 940 millions et 1,04 milliard de dollars.
juj/dax
Twitter se porte bien sans Trump #
Twitter va très bien même sans Donald Trump, a fait savoir Jack Dorsey, le fondateur du réseau social qui s'est félicité de la croissance du nombre d'utilisateurs pendant les élections américaines, mais aussi après sa décision de bannir l'ancien président pour incitations répétées à la violence.
"Notre plateforme est plus large qu'un sujet ou que tel ou tel compte", a-t-il déclaré mardi lors d'une conférence aux analystes sur les résultats trimestriels de la société.
"80% de notre audience se trouve hors des Etats-Unis, et nous avons plus de 50 comptes suivis par plus de 25 millions de personnes".
En janvier, après l'invasion du Capitole par des partisans du milliardaire républicain, Twitter a suspendu puis supprimé le profil de Donald Trump. Le réseau s'est aussi purgé de nombreux comptes extrémistes qui le soutenaient, dont 70.000 affiliés à la mouvance conspirationniste QAnon.
L'éviction de Donald Trump, dont le compte était suivi par 88 millions d'abonnés, n'a pas été du goût de ses fans, ni de certains défenseurs des libertés en ligne, qui y ont vu le signe d'un pouvoir démesuré des plateformes.
Mais "l'augmentation moyenne du nombre d'utilisateurs quotidiens dits +monétisables+ fin janvier était supérieure à la moyenne historique des quatre dernières années", a rassuré le patron.
"Nous nous attendons à une croissance d'environ 20% sur un an" pour le trimestre en cours.
Ces propos étaient très attendus car le modèle économique de Twitter repose sur la publicité, qui se vend d'autant plus cher que les usagers sont nombreux et actifs sur la plateforme.
"La vie sans Trump se révèle être non seulement moins énervante mais aussi beaucoup moins dommageable pour le réseau social que nombre d'entre nous l'aurait pensé", a réagi l'analyste Rob Enderle du Enderle Group.
"Il attirait beaucoup d'audience, mais c'était très concentré sur lui. Je ne suis pas sûr que les gens lisaient les pubs".
Le réseau des gazouillis est parvenu à une fréquentation quotidienne de 192 millions d'usagers dits "monétisables", en moyenne, au quatrième trimestre de 2020, soit un bond de 27% en un an.
"Twitter a terminé une année 2020 turbulente avec une bonne performance au quatrième trimestre. Les améliorations techniques ont amélioré l'expérience des utilisateurs et ont été payantes", a commenté Nazmul Islam, analyste chez eMarketer.
Le groupe californien a dépassé les attentes du marché avec près d'1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires généré d'octobre à décembre 2020 (contre 1 milliard sur la même période en 2019).
Il en a ressorti 222 millions de dollars de bénéfice net (+87%) et 252 millions de bénéfice opérationnel, un record.
Mais ses dépenses grimpent aussi. Elles ont progressé de 21% au quatrième trimestre, et devraient encore enfler de 25% sur l'année 2021, "étant donné les décisions en termes d'embauches et d'investissements des dernières années", précise le groupe dans un communiqué.
La plateforme a lancé de nouveaux produits l'année dernière, dont les "fleets", des messages qui disparaissent au bout de 24 heures, et prépare de nouvelles fonctionnalités, notamment des salons "audio" de conversations en direct et de potentiels tweets vocaux.
Elle travaille aussi à de nouvelles formes de modération, plus "décentralisées" après une année d'échanges particulièrement tendus à cause de la politique américaine.
"Au final, ce sont les personnes qui utilisent Twitter qui sont les mieux placées pour résoudre ce problème", a indiqué Jack Dorsey.
Fin janvier, le réseau a lancé Birdwatch, en phase de test. Ce nouvel outil de lutte contre la désinformation permet aux participants de signaler des messages et d'y ajouter des notes de contexte qui seront lisibles uniquement sur un site séparé dans un premier temps.
L'entreprise voudrait aussi donner du pouvoir aux usagers sur les algorithmes qui guident leur navigation.
"On peut imaginer que vous classiez les algorithmes en fonction de ce que vous voulez voir", a suggéré le patron.
Twitter est aussi revenu sur la menace que représente la dernière mise à jour du système d'exploitation mobile iOS d'Apple pour les réseaux sociaux gratuits.
Prévue pour cette année, elle va obliger les éditeurs d'applications à demander aux usagers leur permission pour les suivre à la trace et à leur préciser quelles données ils récoltent sur eux à des fins de ciblage publicitaire.
"Si la pandémie continue de reculer et que l'impact des changements liés à iOS 14 sont modérés, nous tablons sur une croissance plus rapide de nos revenus que de nos dépenses en 2021", note le groupe.
Pour le premier trimestre en cours, Twitter prévoit un chiffre d'affaires compris entre 940 millions et 1,04 milliard de dollars.
juj/dax
Twitter se porte bien sans Trump #
Twitter va très bien même sans Donald Trump, a fait savoir Jack Dorsey, le fondateur du réseau social qui s'est félicité de la croissance du nombre d'utilisateurs pendant les élections américaines, mais aussi après sa décision de bannir l'ancien président pour incitations répétées à la violence.
"Notre plateforme est plus large qu'un sujet ou que tel ou tel compte", a-t-il déclaré mardi lors d'une conférence aux analystes sur les résultats trimestriels de la société.
"80% de notre audience se trouve hors des Etats-Unis, et nous avons plus de 50 comptes suivis par plus de 25 millions de personnes".
En janvier, après l'invasion du Capitole par des partisans du milliardaire républicain, Twitter a suspendu puis supprimé le profil de Donald Trump. Le réseau s'est aussi purgé de nombreux comptes extrémistes qui le soutenaient, dont 70.000 affiliés à la mouvance conspirationniste QAnon.
L'éviction de Donald Trump, dont le compte était suivi par 88 millions d'abonnés, n'a pas été du goût de ses fans, ni de certains défenseurs des libertés en ligne, qui y ont vu le signe d'un pouvoir démesuré des plateformes.
Mais "l'augmentation moyenne du nombre d'utilisateurs quotidiens dits +monétisables+ fin janvier était supérieure à la moyenne historique des quatre dernières années", a rassuré le patron.
"Nous nous attendons à une croissance d'environ 20% sur un an" pour le trimestre en cours.
Ces propos étaient très attendus car le modèle économique de Twitter repose sur la publicité, qui se vend d'autant plus cher que les usagers sont nombreux et actifs sur la plateforme.
"La vie sans Trump se révèle être non seulement moins énervante mais aussi beaucoup moins dommageable pour le réseau social que nombre d'entre nous l'aurait pensé", a réagi l'analyste Rob Enderle du Enderle Group.
"Il attirait beaucoup d'audience, mais c'était très concentré sur lui. Je ne suis pas sûr que les gens lisaient les pubs".
Le réseau des gazouillis est parvenu à une fréquentation quotidienne de 192 millions d'usagers dits "monétisables", en moyenne, au quatrième trimestre de 2020, soit un bond de 27% en un an.
"Twitter a terminé une année 2020 turbulente avec une bonne performance au quatrième trimestre. Les améliorations techniques ont amélioré l'expérience des utilisateurs et ont été payantes", a commenté Nazmul Islam, analyste chez eMarketer.
Le groupe californien a dépassé les attentes du marché avec près d'1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires généré d'octobre à décembre 2020 (contre 1 milliard sur la même période en 2019).
Il en a ressorti 222 millions de dollars de bénéfice net (+87%) et 252 millions de bénéfice opérationnel, un record.
Mais ses dépenses grimpent aussi. Elles ont progressé de 21% au quatrième trimestre, et devraient encore enfler de 25% sur l'année 2021, "étant donné les décisions en termes d'embauches et d'investissements des dernières années", précise le groupe dans un communiqué.
La plateforme a lancé de nouveaux produits l'année dernière, dont les "fleets", des messages qui disparaissent au bout de 24 heures, et prépare de nouvelles fonctionnalités, notamment des salons "audio" de conversations en direct et de potentiels tweets vocaux.
Elle travaille aussi à de nouvelles formes de modération, plus "décentralisées" après une année d'échanges particulièrement tendus à cause de la politique américaine.
"Au final, ce sont les personnes qui utilisent Twitter qui sont les mieux placées pour résoudre ce problème", a indiqué Jack Dorsey.
Fin janvier, le réseau a lancé Birdwatch, en phase de test. Ce nouvel outil de lutte contre la désinformation permet aux participants de signaler des messages et d'y ajouter des notes de contexte qui seront lisibles uniquement sur un site séparé dans un premier temps.
L'entreprise voudrait aussi donner du pouvoir aux usagers sur les algorithmes qui guident leur navigation.
"On peut imaginer que vous classiez les algorithmes en fonction de ce que vous voulez voir", a suggéré le patron.
Twitter est aussi revenu sur la menace que représente la dernière mise à jour du système d'exploitation mobile iOS d'Apple pour les réseaux sociaux gratuits.
Prévue pour cette année, elle va obliger les éditeurs d'applications à demander aux usagers leur permission pour les suivre à la trace et à leur préciser quelles données ils récoltent sur eux à des fins de ciblage publicitaire.
"Si la pandémie continue de reculer et que l'impact des changements liés à iOS 14 sont modérés, nous tablons sur une croissance plus rapide de nos revenus que de nos dépenses en 2021", note le groupe.
Pour le premier trimestre en cours, Twitter prévoit un chiffre d'affaires compris entre 940 millions et 1,04 milliard de dollars.
juj/dax