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Une enquête antiterroriste ouverte en France sur l'enlèvement du journaliste Olivier Dubois #

5/5/2021, 6:04 PM
Paris, FRA

Une enquête préliminaire pour "enlèvement en bande organisée" et "en relation avec une entreprise terroriste" a été ouverte après l'enlèvement au Mali du journaliste français Olivier Dubois, a appris mercredi l'AFP auprès du parquet national antiterroriste (Pnat), confirmant une information du journal Le Monde.

Cette enquête, classique lorsqu'un Français est enlevé à l'étranger, a été ouverte après la confirmation mercredi de l'enlèvement de ce journaliste par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), survenu début avril.

Olivier Dubois, collaborateur régulier du Point Afrique et de Libération, dit dans une vidéo circulant mercredi sur les réseaux sociaux avoir été enlevé début avril au Mali par ces jihadistes affiliés à Al-Qaïda.

Cette captivité a été confirmée par le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.

Au Mali depuis 2016, Olivier Dubois "était en reportage à Gao", a tweeté le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF), Christophe Deloire. "Le 8 avril, il n'est pas rentré à son hôtel après le déjeuner. Ce journaliste aguerri (...) connaissait bien cette région très dangereuse".

Le journaliste s'était rendu de sa propre initiative dans cette région du nord-est du Mali après avoir préparé, grâce à ses contacts, un entretien avec un dirigeant du groupe jihadiste.

RSF, Libération et d'autres rédactions, rapidement au courant, tout comme ses proches et les autorités françaises, avaient pris la décision de ne pas rendre publique sa disparition afin de ne pas entraver une issue positive.

Il n'y avait plus de Français otage dans le monde depuis la libération en octobre 2020 de Sophie Pétronin, une septuagénaire enlevée en décembre 2016 par des hommes armés à Gao également, où elle vivait et dirigeait une organisation d'aide à l'enfance.

L'enlèvement d'Olivier Dubois porte toutefois à au moins six le nombre d'otages occidentaux détenus au Sahel, un décompte qui ne recouvre que les cas ayant été rendus publics par leur entourage ou leur gouvernement.

gd/pa/cbn/ial/

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MAY 5

Une enquête antiterroriste ouverte en France sur l'enlèvement du journaliste Olivier Dubois (Pnat) #

5/5/2021, 6:00 PM
Paris, FRA

Une enquête préliminaire pour "enlèvement en bande organisée" et "en relation avec une entreprise terroriste" a été ouverte après l'enlèvement au Mali du journaliste français Olivier Dubois, a appris mercredi l'AFP auprès du parquet national antiterroriste (Pnat), confirmant une information du Monde.

Cette enquête, classique lorsqu'un Français est enlevé à l'étranger, a été ouverte après la confirmation mercredi de l'enlèvement de ce journaliste par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), survenu début avril.

Olivier Dubois, collaborateur régulier du Point Afrique et de Libération, dit dans une vidéo circulant mercredi sur les réseaux sociaux avoir été enlevé début avril au Mali par ces jihadistes affiliés à Al-Qaïda.

Cette captivité a été confirmée par le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.

Au Mali depuis 2016, Olivier Dubois "était en reportage à Gao", a tweeté le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF), Christophe Deloire. "Le 8 avril, il n'est pas rentré à son hôtel après le déjeuner. Ce journaliste aguerri (...) connaissait bien cette région très dangereuse".

Le journaliste s'était rendu de sa propre initiative dans cette région du nord-est du Mali après avoir préparé, grâce à ses contacts, un entretien avec un dirigeant du groupe jihadiste.

RSF, Libération et d'autres rédactions, rapidement au courant, tout comme ses proches et les autorités françaises, avaient pris la décision de ne pas rendre publique sa disparition afin de ne pas entraver une issue positive.

Il n'y avait plus de Français otage dans le monde depuis la libération en octobre 2020 de Sophie Pétronin, une septuagénaire enlevée en décembre 2016 par des hommes armés à Gao également, où elle vivait et dirigeait une organisation d'aide à l'enfance.

L'enlèvement d'Olivier Dubois porte toutefois à au moins six le nombre d'otages occidentaux détenus au Sahel, un décompte qui ne recouvre que les cas ayant été rendus publics par leur entourage ou leur gouvernement.

gd/pa/cbn

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MAY 5

Une enquête antiterroriste ouverte en France sur l'enlèvement du journaliste Olivier Dubois (officiel) #

5/5/2021, 5:56 PM
Paris, FRA

Une enquête pour "enlèvement en bande organisée" et "en relation avec une entreprise terroriste" a été ouverte après l'enlèvement au Mali du journaliste français Olivier Dubois, a appris mercredi l'AFP auprès du parquet national antiterroriste (Pnat), confirmant une information du journal Le Monde

Cette enquête, classique lorsqu'un Français est enlevé à l'étranger, a été ouverte après la confirmation mercredi de l'enlèvement de ce journaliste par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), survenu début avril.

gd/pa/cbn

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MAY 5

Une enquête antiterroriste ouverte en France sur l'enlèvement du journaliste Olivier Dubois (Pnat) #

5/5/2021, 5:54 PM
Paris, FRA

Une enquête préliminaire pour "enlèvement en bande organisée" et "en relation avec une entreprise terroriste" a été ouverte après l'enlèvement au Mali du journaliste français Olivier Dubois, a appris mercredi l'AFP auprès du parquet national antiterroriste (Pnat), confirmant une information du Monde.

Cette enquête, classique lorsqu'un Français est enlevé à l'étranger, a été ouverte après la confirmation mercredi de l'enlèvement de ce journaliste par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), survenu début avril.

gd/pa/cbn

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MAY 5

Incendie dans une école maternelle lilloise: deux personnes interpellées #

5/5/2021, 5:20 PM
Lille, FRA

Deux personnes ont été interpellées et placées en garde à vue après l'incendie en avril dans une école maternelle d'un quartier populaire de Lille, a-t-on appris mercredi auprès du parquet.

"Dans la suite des investigations qui sont toujours en cours, deux individus, dont un mineur, ont été interpellés et placés en garde à vue" mardi, a indiqué le parquet de Lille à l'AFP.

Une enquête pénale avait été ouverte pour destruction par incendie après ces faits qui "font encourir à leurs auteurs 10 ans d'emprisonnement et 150.000 euros", avait indiqué à l'AFP la procureure de la République de Lille, Carole Etienne, le lendemain des faits.

L'incendie, qui a eu lieu le 22 avril, "a été provoqué, le ou les auteurs sont entrés par l'arrière du bâtiment en brisant une vitre, ont mis le feu dans une salle de cours qui s'est propagé au dortoir", avait indiqué une source policière.

Selon Élise Valembois, lieutenante chez les pompiers, les secours avaient été victimes sur le trajet "de tirs de mortiers, qui n'ont pas fait de blessé ni touché nos véhicules et n'ont pas augmenté le délai d'intervention".

Au lendemain de l'incendie, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin s'était rendu dans la caserne de pompiers sollicitée pour réaffirmer sa volonté d'intensifier la lutte contre les trafics de drogue, soulignant que "la République ne sera pas intimidée".

la maire socialiste de Lille, Martine Aubry, avait pour sa part dénoncé un "acte délirant". "On gêne les trafiquants. Donc ils répondent, en attaquant la République dans ce qu'elle a de plus symbolique, l'école", avait-elle déclaré

bj-zl/cab/pb

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MAY 5

Ils avaient fait disparaître le corps d'une prostituée : procès reporté pour cause de Covid #

5/5/2021, 1:59 PM
Paris, FRA

Le procès de quatre hommes accusés d'avoir fait disparaître le corps d'une prostituée sur ordre de sa "patronne", elle-même tuée lors de l'incendie allumé pour couvrir la scène de crime, a été reporté mercredi pour cause de Covid.

Le procès aurait dû s'ouvrir mardi devant la cour d'assises de Paris, et était prévu sur trois semaines. L'un des principaux accusés ayant le Covid, le procès sera renvoyé à une date "ultérieure", probablement "pas avant 2022", a indiqué la présidente.

Le 3 août 2016, une énorme explosion avait retenti rue Fondary, dans le 15e arrondissement de Paris. Les voisins avaient vu sortir de l'immeuble un homme gravement blessé, les jambes et les avant-bras brûlés, qui avait pris la fuite.

Lors de leur intervention, les pompiers avaient découvert un corps calciné, celui de Maria-Paz G., une Espagnole de 26 ans, occasionnellement escort-girl mais qui faisait travailler d'autres jeunes femmes dans des appartements parisiens.

L'homme qui s'était enfui avait aussi été identifié comme Mourad B., 24 ans.

Grâce à des écoutes téléphoniques et au fur et à mesure des interpellations, les policiers avaient remonté le fil de l'histoire.

Ce 3 août 2016, après une dispute avec une de ses prostituées qui menaçait de la dénoncer à la police, Maria-Paz G. avait fait venir un de ses amis, Moncef D., et lui avait proposé 20.000 euros pour qu'il se "débarrasse" d'elle.

Moncef D. et un ami, Kamel Z., conviennent alors d'un "bon plan". Faire croire à Maria-Paz G. qu'ils ont tué la fille - qu'ils comptent laisser partir - et récupérer l'argent. Mais quand ils remontent dans l'appartement, Maria-Paz G. a tué la jeune prostituée d'une trentaine de coups de couteaux.

Les deux hommes prennent peur et quittent les lieux. Maria-Paz G. propose alors 15.000 euros, cette fois pour le "nettoyage" des lieux.

Une nouvelle opération est montée, avec Mourad B. et trois autres complices. Les "nettoyeurs" tentent d'effacer les traces de sang, sans succès. Maria-Paz G. décide qu'il faut mettre le feu. La flamme du briquet provoque une déflagration, qui tuera la jeune femme sur le coup. Mourad B. sera gravement brûlé.

Les "nettoyeurs" comparaissent pour le recel du corps et la non-dénonciation du crime. Une prostituée qui se trouvait dans l'appartement avec Maria-Paz G. lorsque celle-ci a tué la prostituée est jugée pour complicité de meurtre.

Au total, dix personnes doivent comparaître dans cette affaire.

mdh/ctx/caz

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MAY 5

Attaque dans le sud de la France: l'assaillant envisageait de frapper Paris #

5/5/2021, 1:50 PM
Paris, FRA

L'assaillant de la basilique de Nice (sud de la France), qui a tué trois personnes au couteau le 29 octobre, comptait se rendre à Paris pour y mener une attaque, selon des messages retrouvés dans son téléphone, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.

L'auteur de l'attaque, Brahim Aouissaoui, un Tunisien de 22 ans, "avait fait part de son intention de venir à Paris, mais il n'avait pas d'argent", a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête, confirmant une information de BFMTV.

"Son but initial était d'aller à Paris", selon des messages retrouvés dans son téléphone, a confirmé à l'AFP une source judiciaire.

Dans des messages révélés par BFMTV, Brahim Aouissaoui écrit à un ami, dans la soirée du 25 octobre depuis Rome: "Demain je partirai pour la France, le pays des mécréants et des chiens".

L'assaillant avait quitté la Tunisie par bateau le 19 septembre. Après un passage par l'Italie, il est arrivé à Nice dans la soirée du 27 octobre. Le lendemain, il indique: "Je suis encore à Nice, je veux venir là où tu es, à la Tour Eiffel, mais le billet est à 150 euros". Puis: "Le billet est trop cher. Je suis ici jusqu'à ce que Dieu me facilite".

Le matin du 29 octobre, il a tué au couteau deux fidèles et le sacristain de la basilique Notre-Dame-de-l'Assomption, avant d'être grièvement blessé par des policiers municipaux.

"Il voulait frapper Paris, Nice était une solution de repli car il n'avait pas assez d'argent", a relevé l'avocate de la famille du sacristain, Me Samia Maktouf.

Me Maktouf doute que "depuis le fin fond de sa campagne tunisienne" Brahim Aouissaoui ait décidé, seul, "d'aller frapper la Tour Eiffel à Paris" et pense qu'il a été "téléguidé".

Hospitalisé à Nice puis transféré dans un établissement de la région parisienne, M. Aouissaoui a été mis en examen en décembre pour "assassinats" et "tentatives d'assassinats" en relation avec une entreprise terroriste.

Pour l'instant, les investigations, confiées depuis novembre à des juges antiterroristes, n'ont pas établi qu'il ait bénéficié d'un soutien, matériel ou idéologique.

"Les personnes qu'il avait contactées à Paris ont été entendues", mais n'ont pas été mises en cause, a précisé la source proche du dossier.

Lors de ses auditions, M. Aouissaoui "conteste tout", selon la source judiciaire, et avance "une amnésie", a précisé Me Maktouf.

sm-mk/edy/ito/dch/ial/

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MAY 5

Attaque dans la basilique de Nice: l'assaillant envisageait de se rendre à Paris #

5/5/2021, 1:42 PM
Paris, FRA

L'assaillant de la basilique de Nice, qui a tué trois personnes au couteau le 29 octobre 2020, comptait se rendre à Paris pour y mener une attaque, selon des messages retrouvés dans son téléphone, a-t-on appris mercredi de sources proche et judiciaire.

L'auteur de l'attaque, Brahim Aouissaoui, un Tunisien de 22 ans, "avait fait part de son intention de venir à Paris, mais il n'avait pas d'argent", a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête, confirmant une information de BFMTV.

"Son but initial était d'aller à Paris", selon des messages retrouvés dans son téléphone, a confirmé à l'AFP une source judiciaire.

Dans des messages révélés par BFMTV, Brahim Aouissaoui écrit à un ami, dans la soirée du 25 octobre depuis Rome: "Demain je partirai pour la France, le pays des mécréants et des chiens".

L'assaillant avait quitté la Tunisie par bateau le 19 septembre. Après un passage par l'Italie, il est arrivé à Nice dans la soirée du 27 octobre. Le lendemain, il indique: "Je suis encore à Nice, je veux venir là où tu es, à la Tour Eiffel, mais le billet est à 150 euros". Puis: "Le billet est trop cher. Je suis ici jusqu'à ce que Dieu me facilite".

Le matin du 29 octobre, il a tué au couteau deux fidèles et le sacristain de la basilique Notre-Dame-de-l'Assomption, avant d'être grièvement blessé par des policiers municipaux.

"Il voulait frapper Paris, Nice était une solution de repli car il n'avait pas assez d'argent", a relevé l'avocate de la famille du sacristain, Me Samia Maktouf.

Me Maktouf doute que "depuis le fin fond de sa campagne tunisienne" Brahim Aouissaoui ait décidé, seul, "d'aller frapper la Tour Eiffel à Paris" et pense qu'il a été "téléguidé".

Hospitalisé à Nice puis transféré dans un établissement de la région parisienne, M. Aouissaoui a été mis en examen en décembre pour "assassinats" et "tentatives d'assassinats" en relation avec une entreprise terroriste.

Pour l'instant, les investigations, confiées depuis novembre à des juges antiterroristes, n'ont pas établi qu'il ait bénéficié d'un soutien, matériel ou idéologique.

"Les personnes qu'il avait contactées à Paris ont été entendues", mais n'ont pas été mises en cause, a précisé la source proche du dossier.

Lors de ses auditions, M. Aouissaoui "conteste tout", selon la source judiciaire, et avance "une amnésie", a précisé Me Maktouf.

sm-mk/edy/ito/dch

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MAY 5

Au moins six otages occidentaux en captivité au Sahel #

5/5/2021, 1:26 PM

L'enlèvement au Mali du journaliste français Olivier Dubois par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), survenu début avril et dévoilé mercredi, porte à au moins six le nombre d'otages occidentaux détenus au Sahel.

Ce décompte ne recouvre que les cas ayant été rendus publics par leur entourage ou leur gouvernement, qui choisissent parfois de ne pas communiquer sur les enlèvements. Et ceux-ci ne sont pas systématiquement revendiqués par leurs auteurs.

En juillet 2017, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) avait publié une vidéo montrant six otages: l'Australien Arthur Kenneth Elliott, la Française Sophie Pétronin, le Roumain Iulian Ghergut, la missionnaire suisse Béatrice Stockly, la religieuse colombienne Gloria Cecilia Narvaez Argoti et le Sud-Africain Stephen McGown.

Deux d'entre eux ont été libérés, Stephen McGown en juillet 2017, puis Sophie Pétronin en octobre 2020, en même temps que deux Italiens, Nicola Chiacchio et Pier Luigi Maccalli, dont l'enlèvement n'avait jusqu'alors pas été rendu public.

La Suisse a par ailleurs été informée en octobre 2020 de l'exécution de Béatrice Stöckli par le GSIM.

Officier de sécurité roumain dans une mine de manganèse dans le Nord du Burkina Faso, près des frontières du Mali et du Niger, Iulian Ghergut a été enlevé le 4 avril 2015 par des hommes armés.

Son enlèvement avait été revendiqué par le groupe jihadiste Al-Mourabitoune qui s'est peu après rallié à Aqmi.

Alors âgé de 82 ans, ce chirurgien australien a été enlevé au Burkina Faso le 15 janvier 2016 avec son épouse Jocelyn, un rapt revendiqué par le groupe jihadiste Ansar Dine. Jocelyn Elliott a été libérée le mois suivant.

A l'occasion des trois ans de captivité de l'octogénaire, elle avait adressé aux ravisseurs une demande de libération formulée en anglais et en langue locale, demande qu'elle a renouvelée en mai 2020.

Le 14 octobre 2016, l'Américain Jeffery Woodke, qui travaillait pour une ONG à Abalak au Niger, a été enlevé et sans doute conduit au Mali, selon des sources sécuritaires nigériennes.

Le président du Niger Mahamadou Issoufou a assuré en septembre 2019 que l'otage américain était en vie et en bonne santé, dans une interview à la chaîne américaine ABC.

Cette religieuse colombienne a été emmenée de force le 7 février 2017 par des hommes armés qui avaient pénétré dans l'enceinte de sa congrégation de Karangasso, dans le Sud du Mali.

Le 30 janvier 2018, elle apparaissait dans une vidéo, sollicitant l'intervention du pape François. En septembre 2018, elle est apparue dans une autre vidéo avec Sophie Pétronin.

L'Allemand Jörg Lange, qui travaillait pour une ONG, a été enlevé le 11 avril 2018 dans l'Ouest du Niger et emmené vers le nord, non loin de la frontière malienne.

En 2018 lors de sa visite à Paris, le président Issoufou avait affirmé que cet humanitaire était vivant.

Dans une brève vidéo diffusée mercredi sur les réseaux sociaux, le journaliste français Olivier Dubois, collaborateur de divers médias, déclare avoir été enlevé le 8 avril à Gao (Nord du Mali) par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM, ou Jnim en arabe), principale alliance jihadiste au Sahel.

mw-paj-ang/mw/ayv/

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LocationParis - FRA
Date5/5/2021, 1:26 PM