Les héros de Disney talonnent le pionnier Netflix #
Le succès des plateformes de streaming du "royaume enchanté" a éclipsé en 2020 ses problèmes dans le monde réel, et augure d'une reprise radieuse en 2021, grâce aux franchises populaires sur Disney+, à la reprise des événements sportifs, et à la vaccination contre le Covid-19.
Les services Disney+, ESPN+ (sport), et Hulu, comptaient 146 millions d'abonnés à la fin de l'année, d'après un communiqué de résultats publié jeudi.
A lui seul, Disney+, qui a pris du service en novembre 2019, détient près de 95 millions d'abonnés. La plateforme a largement bénéficié des mesures de confinement, de l'immense catalogue du groupe californien et de prix peu élevés par rapport aux concurrents.
Par comparaison, Netflix, le pionnier et leader du streaming de vidéos sur abonnement (SVOD), a récemment dépassé les 200 millions d'utilisateurs dans le monde.
"Parmi les récents lancements de produits, Disney+ a été l'un des plus réussis", s'est enthousiasmé Eric Haggstrom, analyste chez eMarketer.
Cet accomplissement compense en partie l'année difficile que le géant du divertissement vient de traverser à cause de la pandémie, qui a entraîné la fermeture des parcs d'attraction et des cinémas.
En tout, Disney n'a gagné que 17 millions de dollars de bénéfice net pendant la saison des fêtes, au lieu de 2,1 milliards il y un an.
Mais le groupe californien "va continuer à grandir dans le streaming, tandis que ses parcs, ses branches de télévision et de cinéma vont rapidement se reprendre grâce à la vaccination et à l'expression de la demande contenue depuis des mois", a commenté Eric Haggstrom.
Avec les secondes vagues de la pandémie de Covid-19, certains parcs d'attraction ont dû refermer leurs portes, comme les Disneyland de Paris et de Hong Kong. D'autres sont restés ouverts, mais avec des capacités limitées. Ils ont d'ailleurs parfois dû refuser l'entrée de visiteurs supplémentaires.
La branche "parcs, expériences et produits dérivés" n'a généré que 3,6 milliards de dollars de recettes, moitié moins que l'année dernière au même trimestre.
"Nous opérons à 35% de nos capacités totales", a expliqué Christine McCarthy, la directrice financière de l'entreprise, lors d'une conférence à destination d'analystes financiers.
Elle a précisé que ses équipes étaient concentrées sur les moyens de générer plus de revenus par visiteur: "quand les gens passent un super moment dans nos parcs ils dépensent plus d'argent".
Au sein de la branche de distribution du groupe, qui représente l'essentiel du chiffre d'affaires, le segment des télévisions traditionnels est resté stable avec 7,7 milliards de revenus, malgré les annulations et reports de programmation.
Le segment des plateformes, en revanche, a généré 3,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires lors du trimestre écoulé, en hausse de 73% sur un an.
La saison des fêtes a été rythmée par plusieurs sorties populaires, dont, fin octobre, la deuxième saison de The Mandalorian, une série qui se déroule dans l'univers de Star Wars.
Disney+ a suscité l'engouement grâce à son catalogue et ceux des studios Pixar, Marvel, ou encore National Geographic. La plateforme s'est aussi donnée pour objectif de diffuser des nouveaux contenus toutes les semaines et une centaine de nouveaux titres par an.
"Il faut que nous gardions un rapport qualité-prix très élevé, et il n'y a pas de meilleur moyen d'y arriver que de faire tourner la machine à franchises pour sortir de nouveaux opus tous les mois", a élaboré Bob Chapek, le patron de la société.
"Les contenus sont le principal facteur dans l'acquisition et la rétention de nouveaux abonnés", a souligné Christine McCarthy, avant de confirmer que l'objectif de rentabilité pour le service de streaming était maintenu pour l'année fiscale 2024.
Pour l'année en cours, Disney a prévu de rester flexible en matière de sorties au cinéma ou sur internet.
Par exemple, "Black Widow est prévu pour les cinémas, mais nous allons suivre de près la réouverture des salles et l'appétit des consommateurs pour décider s'il faut revoir notre décision ou pas", a déclaré Bob Chapek.
juj/rle
Les héros de Disney talonnent le pionner Netflix #
Le succès des plateformes de streaming du "royaume enchanté" a éclipsé en 2020 ses problèmes dans le monde réel, et augure d'une reprise radieuse en 2021, grâce aux franchises populaires sur Disney+, à la reprise des événements sportifs, et à la vaccination contre le Covid-19.
Les services Disney+, ESPN+ (sport), et Hulu, comptaient 146 millions d'abonnés à la fin de l'année, d'après un communiqué de résultats publié jeudi.
A lui seul, Disney+, qui a pris du service en novembre 2019, détient près de 95 millions d'abonnés. La plateforme a largement bénéficié des mesures de confinement, de l'immense catalogue du groupe californien et de prix peu élevés par rapport aux concurrents.
Par comparaison, Netflix, le pionnier et leader du streaming de vidéos sur abonnement (SVOD), a récemment dépassé les 200 millions d'utilisateurs dans le monde.
"Parmi les récents lancements de produits, Disney+ a été l'un des plus réussis", s'est enthousiasmé Eric Haggstrom, analyste chez eMarketer.
Cet accomplissement compense en partie l'année difficile que le géant du divertissement vient de traverser à cause de la pandémie, qui a entraîné la fermeture des parcs d'attraction et des cinémas.
En tout, Disney n'a gagné que 17 millions de dollars de bénéfice net pendant la saison des fêtes, au lieu de 2,1 milliards il y un an.
Mais le groupe californien "va continuer à grandir dans le streaming, tandis que ses parcs, ses branches de télévision et de cinéma vont rapidement se reprendre grâce à la vaccination et à l'expression de la demande contenue depuis des mois", a commenté Eric Haggstrom.
Avec les secondes vagues de la pandémie de Covid-19, certains parcs d'attraction ont dû refermer leurs portes, comme les Disneyland de Paris et de Hong Kong. D'autres sont restés ouverts, mais avec des capacités limitées. Ils ont d'ailleurs parfois dû refuser l'entrée de visiteurs supplémentaires.
La branche "parcs, expériences et produits dérivés" n'a généré que 3,6 milliards de dollars de recettes, moitié moins que l'année dernière au même trimestre.
"Nous opérons à 35% de nos capacités totales", a expliqué Christine McCarthy, la directrice financière de l'entreprise, lors d'une conférence à destination d'analystes financiers.
Elle a précisé que ses équipes étaient concentrées sur les moyens de générer plus de revenus par visiteur: "quand les gens passent un super moment dans nos parcs ils dépensent plus d'argent".
Au sein de la branche de distribution du groupe, qui représente l'essentiel du chiffre d'affaires, le segment des télévisions traditionnels est resté stable avec 7,7 milliards de revenus, malgré les annulations et reports de programmation.
Le segment des plateformes, en revanche, a généré 3,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires lors du trimestre écoulé, en hausse de 73% sur un an.
La saison des fêtes a été rythmée par plusieurs sorties populaires, dont, fin octobre, la deuxième saison de The Mandalorian, une série qui se déroule dans l'univers de Star Wars.
Disney+ a suscité l'engouement grâce à son catalogue et ceux des studios Pixar, Marvel, ou encore National Geographic. La plateforme s'est aussi donnée pour objectif de diffuser des nouveaux contenus toutes les semaines et une centaine de nouveaux titres par an.
"Il faut que nous gardions un rapport qualité-prix très élevé, et il n'y a pas de meilleur moyen d'y arriver que de faire tourner la machine à franchises pour sortir de nouveaux opus tous les mois", a élaboré Bob Chapek, le patron de la société.
"Les contenus sont le principal facteur dans l'acquisition et la rétention de nouveaux abonnés", a souligné Christine McCarthy, avant de confirmer que l'objectif de rentabilité pour le service de streaming était maintenu pour l'année fiscale 2024.
Pour l'année en cours, Disney a prévu de rester flexible en matière de sorties au cinéma ou sur internet.
Par exemple, "Black Widow est prévu pour les cinémas, mais nous allons suivre de près la réouverture des salles et l'appétit des consommateurs pour décider s'il faut revoir notre décision ou pas", a déclaré Bob Chapek.
juj/rle
Disney atteint les 146 millions d'abonnés à ses plateformes de streaming #
Disney continue de réduire le fossé entre le leader du streaming, Netflix, et ses propres plateformes lancées fin 2019, dont Disney +, qui comptaient 146 millions d'abonnés à la fin de l'année, d'après un communiqué de résultats publié jeudi.
Cet accomplissement compense en partie l'année difficile que le géant du divertissement vient de traverser à cause de la pandémie, qui a entraîné la fermeture des parcs d'attraction et les cinémas.
D'octobre à décembre, période correspondant au premier trimestre de l'exercice fiscal 2020/21, son chiffre d'affaires global a baissé de 22% à 16,25 milliards de dollars, un résultat néanmoins supérieur aux attentes du marché.
Le titre du Royaume enchanté prenait près de 3% lors des échanges électroniques après la clôture de Wall Street.
"Disney va continuer à grandir dans le streaming, tandis que ses parcs, ses branches de télévision et de cinema vont rapidement se reprendre grâce à la vaccination et à l'expression de la demande contenue depuis des mois", a réagi Eric Haggstrom, analyste chez eMarketer.
Il estime aussi que Disney+, qui a pris du service en novembre 2019, "a été l'un des lancements de produit récents les plus réussis".
La plateforme, qui a bénéficié des mesures de confinement, de l'immense catalogue du groupe californien et de prix peu élevés par rapport aux concurrents, compte près de 95 millions d'abonnés. Par comparaison, Netflix, le pionnier du secteur, a récemment dépassé les 200 millions d'utilisateurs dans le monde.
La branche de Disney qui comprend les services directs aux consommateurs (Disney+, ESPN +, Hulu) a généré 3,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires lors de ce trimestre, en hausse de 73% sur un an.
La saison des fêtes a été rythmée par plusieurs sorties populaires, dont, fin octobre, la deuxième saison de The Mandalorian, une série qui se déroule dans l'univers de Star Wars.
Mais cette période a aussi été marquée par les secondes vagues de la pandémie de Covid-19, qui ont forcé certains parcs à refermer leurs portes, comme les Disneyland de Paris et de Hong Kong.
La division "parcs, expériences et produits dérivés" n'a généré que 3,6 milliards de dollars de recettes, moitié mois que l'année dernière au même trimestre.
En tout, Disney n'a gagné que 17 millions de dollars de bénéfice net pendant la saison des fêtes, au lieu de 2,1 milliards il y un an.
juj/lo/nth
Disney atteint les 146 millions d'abonnés à ses plateformes de streaming #
Disney continue de réduire le fossé entre le leader du streaming, Netflix, et ses propres plateformes lancées fin 2019, dont Disney +, qui comptaient 146 millions d'abonnés à la fin de l'année, d'après un communiqué de résultats publié jeudi.
Cet accomplissement compense en partie l'année difficile que le géant du divertissement vient de traverser à cause de la pandémie qui a entraîné la fermeture des parcs d'attraction et les cinémas: d'octobre à décembre son chiffre d'affaires global a baissé de 22% à 16,25 milliards de dollars, un résultat néanmoins supérieur aux attentes du marché. Netflix a récemment dépassé les 200 millions d'utilisateurs dans le monde.
juj/lo/nth
Uber sort renforcé de ses malheurs de 2020 #
Uber continue de perdre des sommes abyssales, mais ses investissements dans les livraisons et d'autres mesures prises pendant la pandémie lui permettent de garder confiance dans sa capacité à atteindre son graal, la rentabilité.
Sur toute l'année 2020, les pertes nettes d'Uber se sont élevées à 6,8 milliards de dollars, soit une amélioration de 20% par rapport aux 8,5 milliards perdus en 2019, d'après ses résultats publiés mercredi.
La société basée à San Francisco, dont le nom est quasi synonyme des déplacements en VTC (voitures de tourisme avec chauffeur), a subi de plein fouet les restrictions de déplacement liées à la pandémie.
Elle a en conséquence mis le paquet sur les livraisons de repas et de courses, très en vogue grâce aux confinements.
Uber Eats est monté en puissance, mais Uber s'est étendu bien au-delà ces derniers mois, avec les acquisitions de Postmates (plateforme de livraison de repas à domicile) l'été dernier, de Cornershop en Amérique latine et aussi, la semaine dernière, de Drizly, un leader de livraisons d'alcool à la demande aux Etats-Unis.
Au quatrième trimestre 2020, sa branche livraison a ainsi généré des recettes de 1,4 milliard de dollars, soit un bond de 224% sur un an. Par contraste, son chiffre d'affaires pour sa branche mobilité - les courses de VTC - a plongé de 52%, à 1,5 milliard.
D'après le cabinet Edison, DoorDash représentait 48% du marché de livraison de repas aux Etats-Unis fin 2020, devant Uber Eats (35% avec Postmates).
Le leader mondial des VTC n'a jamais dégagé de profits. Avant la pandémie, il pensait atteindre la rentabilité au dernier trimestre 2020. Mais au printemps il a indiqué que cet objectif serait retardé de plusieurs trimestres, à cause de la crise sanitaire.
"Nous restons confiants dans la possibilité que notre branche de livraison devienne rentable en 2021", a assuré Dara Khosrowshahi, le patron du groupe californien, lors d'une conférence téléphonique avec des analystes.
Il compte notamment sur l'immense base d'utilisateurs de son application de transports.
"Nous avons 90 millions de consommateurs actifs au moins une fois sur la plateforme. Et nous avons prouvé que nous étions capables d'amener les utilisateurs sur notre application de livraison, quasiment sans coût additionnel", a-t-il souligné.
Uber a aussi désormais 5 millions de membres pour ses programmes de fidélité (Uber Pass, Eats Pass et Postmates).
Mais attention, "les livraisons de repas de restaurants vont subir une comparaison difficile en 2021 avec l'année dernière", a prévenu Eric Haggstrom du cabinet d'analystes eMarketer.
Côté transport de voyageurs, l'entreprise et les analystes parient sur un fort rebond dès 2021, notamment grâce aux campagnes de vaccination et à l'espoir d'une véritable reprise des déplacements professionnels et personnels.
"Nous avons montré que sur des gros marchés comme le Brésil ou l'Australie, quand ils rouvrent, les affaires reprennent", a déclaré Dara Khosrowshahi. "Je n'ai donc aucun doute qu'en 2022 ou 2023, notre segment mobilité connaîtra des croissances substantielles, à deux chiffres".
D'octobre à décembre, Uber a réduit ses pertes nettes de 12%, à 968 millions de dollars, malgré la baisse de ses revenus totaux de 16%.
Un signe que le groupe avance dans la "bonne direction" pour l'analyste Dan Ives de Wedbush. "il a posé le décor pour un retour à la croissance et un chemin vers la rentabilité d'ici la fin 2021 ou le début de 2022", a-t-il commenté.
"Wall Street continue de voir Uber et (son concurrent américain) Lyft comme les emblèmes de la reprise économique car tous les deux sont renés de leurs cendres par comparaison avec les jours sombres de mars/avril."
La plateforme a aussi désormais le champ libre sur le front social.
Alors que la Californie avait fait passer une loi qui devait la forcer, en 2020, à embaucher ses dizaines de milliers de chauffeurs dans cet Etat américain, les électeurs ont approuvé lors d'un référendum en novembre la "Proposition 22", l'alternative formulée par Uber et ses alliés.
Selon cette loi, les conducteurs restent considérés comme des travailleurs indépendants, mais ils vont recevoir des compensations: un revenu minimum garanti, une contribution à une assurance santé et d'autres assurances, en fonction du nombre d'heures travaillées par semaine.
Les coûts de cette mesure sont venus en bonne partie gonfler le prix des courses en Californie, ont admis les dirigeants mercredi.
La Cour suprême californienne a récemment refusé d'entendre la première tentative de contester la nouvelle loi, et Tony West, le directeur juridique du groupe, s'est dit "pas particulièrement inquiet" concernant d'autres potentiels recours.
juj/iba
Macron a proposé à Biden de régler le litige opposant Airbus et Boeing, selon CNBC #
Le président français Emmanuel Macron a suggéré lors d'une conversation téléphonique à son homologue américain Joe Biden que les deux pays règlent le vieux litige opposant les géants de l'aéronautique Boeing et Airbus, selon la chaîne d'informations financières CNBC.
Le nouveau locataire de la Maison Blanche n'a pas souhaité s'engager fermement sur le sujet lors de cet entretien datant du 24 janvier, suggérant simplement que les équipes pertinentes s'emparent du sujet, a ajouté mercredi le média en citant une source proche du dossier.
Les comptes-rendus de la discussion entre les deux chefs d'Etat, aussi bien côté français qu'américain, ne mentionnent pas que le sujet a été abordé.
"Nous savons qu'il y a un fort intérêt à résoudre le conflit Boeing-Airbus sur les deux rives de l'Atlantique", a déclaré à l'AFP Adam Hodge, un porte-parole du Haut représentant au Commerce (USTR), refusant néanmoins de confirmer ou d'infirmer les informations de CNBC.
"L'USTR a hâte de travailler avec les alliés européens pour trouver une issue équitable une fois que l'ambassadrice (Katherine) Tai aura été confirmée" dans ses nouvelles fonctions par le Sénat, a ajouté M. Hodge.
Airbus et Boeing, et à travers eux l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis, s'affrontent depuis octobre 2004 devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC) sur les aides publiques versées aux deux groupes, jugées illégales, dans le conflit commercial le plus long traité par le juge de paix des échanges mondiaux.
Les deux entreprises ont chacune obtenu des décisions en leur faveur.
Les Etats-Unis ont été autorisés fin 2019 à imposer des taxes sur près de 7,5 milliards de dollars de biens et services européens importés chaque année.
L'UE a été autorisée un an plus tard à mettre en place des taxes sur des produits importés des Etats-Unis et impose depuis début novembre 4 milliards de dollars d'exportations américaines.
Fin décembre, à trois semaines de la fin de son mandat, l'administration Trump a toutefois annoncé des droits de douane supplémentaires sur des produits français et allemands, des vins non pétillants et cognacs, et des pièces aéronautiques jusque-là épargnées.
Ils s'ajoutaient à ceux déjà imposés depuis 2019 sur des importations européennes comme le vin, le fromage, l'huile d'olive ou le whisky, ainsi que sur les avions d'Airbus.
Lors de leur entrée en vigueur le 12 janvier, Bruxelles avait dit "regretter" cette initiative et avait exprimé l'espoir de pouvoir solder le litige après l'entrée en fonctions de la nouvelle administration.
jum-lo/iba
Macron a proposé à Biden de régler le litige opposant Airbus et Boeing, selon CNBC #
Le président français Emmanuel Macron a suggéré lors d'une conversation téléphonique à son homologue américain Joe Biden que les deux pays règlent le vieux litige opposant les géants de l'aéronautique Boeing et Airbus, selon la chaîne d'informations financières CNBC.
Le nouveau locataire de la Maison Blanche n'a pas souhaité s'engager fermement sur le sujet lors de cet entretien datant du 24 janvier, suggérant simplement que les équipes pertinentes s'emparent du sujet, a ajouté mercredi le média en citant une source proche du dossier.
Les compte-rendus de la discussion entre les deux chefs d'Etat, aussi bien côté français qu'américain, ne mentionnent pas que le sujet a été abordé.
Contactés par l'AFP, la Maison Blanche, le départment du Commerce et les services du Haut représentant au Commerce (USTR) n'ont pas répondu dans l'immédiat.
Airbus et Boeing, et à travers eux l'Union européenne (UE) et les États-Unis, s'affrontent depuis octobre 2004 devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC) sur les aides publiques versées aux deux groupes, jugées illégales, dans le conflit commercial le plus long traité par le juge de paix des échanges mondiaux.
Les deux entreprises ont chacune obtenu des décisions en leur faveur.
Les États-Unis ont été autorisés fin 2019 à imposer des taxes sur près de 7,5 milliards de dollars de biens et services européens importés chaque année.
L'UE a été autorisée un an plus tard à mettre en place des taxes sur des produits importés des États-Unis et impose depuis début novembre 4 milliards de dollars d'exportations américaines.
Fin décembre, à trois semaines de la fin de son mandat, l'administration Trump a toutefois annoncé des droits de douane supplémentaires sur des produits français et allemands, des vins non pétillants et cognacs, et des pièces aéronautiques jusque-là épargnées.
Elles s'ajoutaient à celles déjà imposées depuis 2019 sur des importations européennes comme le vin, le fromage, l'huile d'olive ou le whisky, ainsi que sur les avions d'Airbus.
Lors de leur entrée en vigueur le 12 janvier, Bruxelles avait dit "regretter" cette initiative et avait exprimé l'espoir de pourvoir solder le litige après l'entrée en fonction de la nouvelle administration.
jum/lo/nth
Twitter se porte bien sans Trump #
Twitter va très bien même sans Donald Trump, a fait savoir Jack Dorsey, le fondateur du réseau social qui s'est félicité de la croissance du nombre d'utilisateurs pendant les élections américaines, mais aussi après sa décision de bannir l'ancien président pour incitations répétées à la violence.
"Notre plateforme est plus large qu'un sujet ou que tel ou tel compte", a-t-il déclaré mardi lors d'une conférence aux analystes sur les résultats trimestriels de la société.
"80% de notre audience se trouve hors des Etats-Unis, et nous avons plus de 50 comptes suivis par plus de 25 millions de personnes".
En janvier, après l'invasion du Capitole par des partisans du milliardaire républicain, Twitter a suspendu puis supprimé le profil de Donald Trump. Le réseau s'est aussi purgé de nombreux comptes extrémistes qui le soutenaient, dont 70.000 affiliés à la mouvance conspirationniste QAnon.
L'éviction de Donald Trump, dont le compte était suivi par 88 millions d'abonnés, n'a pas été du goût de ses fans, ni de certains défenseurs des libertés en ligne, qui y ont vu le signe d'un pouvoir démesuré des plateformes.
Mais "l'augmentation moyenne du nombre d'utilisateurs quotidiens dits +monétisables+ fin janvier était supérieure à la moyenne historique des quatre dernières années", a rassuré le patron.
"Nous nous attendons à une croissance d'environ 20% sur un an" pour le trimestre en cours.
Ces propos étaient très attendus car le modèle économique de Twitter repose sur la publicité, qui se vend d'autant plus cher que les usagers sont nombreux et actifs sur la plateforme.
"La vie sans Trump se révèle être non seulement moins énervante mais aussi beaucoup moins dommageable pour le réseau social que nombre d'entre nous l'aurait pensé", a réagi l'analyste Rob Enderle du Enderle Group.
"Il attirait beaucoup d'audience, mais c'était très concentré sur lui. Je ne suis pas sûr que les gens lisaient les pubs".
Le réseau des gazouillis est parvenu à une fréquentation quotidienne de 192 millions d'usagers dits "monétisables", en moyenne, au quatrième trimestre de 2020, soit un bond de 27% en un an.
"Twitter a terminé une année 2020 turbulente avec une bonne performance au quatrième trimestre. Les améliorations techniques ont amélioré l'expérience des utilisateurs et ont été payantes", a commenté Nazmul Islam, analyste chez eMarketer.
Le groupe californien a dépassé les attentes du marché avec près d'1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires généré d'octobre à décembre 2020 (contre 1 milliard sur la même période en 2019).
Il en a ressorti 222 millions de dollars de bénéfice net (+87%) et 252 millions de bénéfice opérationnel, un record.
Mais ses dépenses grimpent aussi. Elles ont progressé de 21% au quatrième trimestre, et devraient encore enfler de 25% sur l'année 2021, "étant donné les décisions en termes d'embauches et d'investissements des dernières années", précise le groupe dans un communiqué.
La plateforme a lancé de nouveaux produits l'année dernière, dont les "fleets", des messages qui disparaissent au bout de 24 heures, et prépare de nouvelles fonctionnalités, notamment des salons "audio" de conversations en direct et de potentiels tweets vocaux.
Elle travaille aussi à de nouvelles formes de modération, plus "décentralisées" après une année d'échanges particulièrement tendus à cause de la politique américaine.
"Au final, ce sont les personnes qui utilisent Twitter qui sont les mieux placées pour résoudre ce problème", a indiqué Jack Dorsey.
Fin janvier, le réseau a lancé Birdwatch, en phase de test. Ce nouvel outil de lutte contre la désinformation permet aux participants de signaler des messages et d'y ajouter des notes de contexte qui seront lisibles uniquement sur un site séparé dans un premier temps.
L'entreprise voudrait aussi donner du pouvoir aux usagers sur les algorithmes qui guident leur navigation.
"On peut imaginer que vous classiez les algorithmes en fonction de ce que vous voulez voir", a suggéré le patron.
Twitter est aussi revenu sur la menace que représente la dernière mise à jour du système d'exploitation mobile iOS d'Apple pour les réseaux sociaux gratuits.
Prévue pour cette année, elle va obliger les éditeurs d'applications à demander aux usagers leur permission pour les suivre à la trace et à leur préciser quelles données ils récoltent sur eux à des fins de ciblage publicitaire.
"Si la pandémie continue de reculer et que l'impact des changements liés à iOS 14 sont modérés, nous tablons sur une croissance plus rapide de nos revenus que de nos dépenses en 2021", note le groupe.
Pour le premier trimestre en cours, Twitter prévoit un chiffre d'affaires compris entre 940 millions et 1,04 milliard de dollars.
juj/dax
Twitter se porte bien sans Trump #
Twitter va très bien même sans Donald Trump, a fait savoir Jack Dorsey, le fondateur du réseau social qui s'est félicité de la croissance du nombre d'utilisateurs pendant les élections américaines, mais aussi après sa décision de bannir l'ancien président pour incitations répétées à la violence.
"Notre plateforme est plus large qu'un sujet ou que tel ou tel compte", a-t-il déclaré mardi lors d'une conférence aux analystes sur les résultats trimestriels de la société.
"80% de notre audience se trouve hors des Etats-Unis, et nous avons plus de 50 comptes suivis par plus de 25 millions de personnes".
En janvier, après l'invasion du Capitole par des partisans du milliardaire républicain, Twitter a suspendu puis supprimé le profil de Donald Trump. Le réseau s'est aussi purgé de nombreux comptes extrémistes qui le soutenaient, dont 70.000 affiliés à la mouvance conspirationniste QAnon.
L'éviction de Donald Trump, dont le compte était suivi par 88 millions d'abonnés, n'a pas été du goût de ses fans, ni de certains défenseurs des libertés en ligne, qui y ont vu le signe d'un pouvoir démesuré des plateformes.
Mais "l'augmentation moyenne du nombre d'utilisateurs quotidiens dits +monétisables+ fin janvier était supérieure à la moyenne historique des quatre dernières années", a rassuré le patron.
"Nous nous attendons à une croissance d'environ 20% sur un an" pour le trimestre en cours.
Ces propos étaient très attendus car le modèle économique de Twitter repose sur la publicité, qui se vend d'autant plus cher que les usagers sont nombreux et actifs sur la plateforme.
"La vie sans Trump se révèle être non seulement moins énervante mais aussi beaucoup moins dommageable pour le réseau social que nombre d'entre nous l'aurait pensé", a réagi l'analyste Rob Enderle du Enderle Group.
"Il attirait beaucoup d'audience, mais c'était très concentré sur lui. Je ne suis pas sûr que les gens lisaient les pubs".
Le réseau des gazouillis est parvenu à une fréquentation quotidienne de 192 millions d'usagers dits "monétisables", en moyenne, au quatrième trimestre de 2020, soit un bond de 27% en un an.
"Twitter a terminé une année 2020 turbulente avec une bonne performance au quatrième trimestre. Les améliorations techniques ont amélioré l'expérience des utilisateurs et ont été payantes", a commenté Nazmul Islam, analyste chez eMarketer.
Le groupe californien a dépassé les attentes du marché avec près d'1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires généré d'octobre à décembre 2020 (contre 1 milliard sur la même période en 2019).
Il en a ressorti 222 millions de dollars de bénéfice net (+87%) et 252 millions de bénéfice opérationnel, un record.
Mais ses dépenses grimpent aussi. Elles ont progressé de 21% au quatrième trimestre, et devraient encore enfler de 25% sur l'année 2021, "étant donné les décisions en termes d'embauches et d'investissements des dernières années", précise le groupe dans un communiqué.
La plateforme a lancé de nouveaux produits l'année dernière, dont les "fleets", des messages qui disparaissent au bout de 24 heures, et prépare de nouvelles fonctionnalités, notamment des salons "audio" de conversations en direct et de potentiels tweets vocaux.
Elle travaille aussi à de nouvelles formes de modération, plus "décentralisées" après une année d'échanges particulièrement tendus à cause de la politique américaine.
"Au final, ce sont les personnes qui utilisent Twitter qui sont les mieux placées pour résoudre ce problème", a indiqué Jack Dorsey.
Fin janvier, le réseau a lancé Birdwatch, en phase de test. Ce nouvel outil de lutte contre la désinformation permet aux participants de signaler des messages et d'y ajouter des notes de contexte qui seront lisibles uniquement sur un site séparé dans un premier temps.
L'entreprise voudrait aussi donner du pouvoir aux usagers sur les algorithmes qui guident leur navigation.
"On peut imaginer que vous classiez les algorithmes en fonction de ce que vous voulez voir", a suggéré le patron.
Twitter est aussi revenu sur la menace que représente la dernière mise à jour du système d'exploitation mobile iOS d'Apple pour les réseaux sociaux gratuits.
Prévue pour cette année, elle va obliger les éditeurs d'applications à demander aux usagers leur permission pour les suivre à la trace et à leur préciser quelles données ils récoltent sur eux à des fins de ciblage publicitaire.
"Si la pandémie continue de reculer et que l'impact des changements liés à iOS 14 sont modérés, nous tablons sur une croissance plus rapide de nos revenus que de nos dépenses en 2021", note le groupe.
Pour le premier trimestre en cours, Twitter prévoit un chiffre d'affaires compris entre 940 millions et 1,04 milliard de dollars.
juj/dax
Twitter se porte bien sans Trump #
Twitter va très bien même sans Donald Trump, a fait savoir Jack Dorsey, le fondateur du réseau social qui s'est félicité de la croissance du nombre d'utilisateurs pendant les élections américaines, mais aussi après sa décision de bannir l'ancien président pour incitations répétées à la violence.
"Notre plateforme est plus large qu'un sujet ou que tel ou tel compte", a-t-il déclaré mardi lors d'une conférence aux analystes sur les résultats trimestriels de la société.
"80% de notre audience se trouve hors des Etats-Unis, et nous avons plus de 50 comptes suivis par plus de 25 millions de personnes".
En janvier, après l'invasion du Capitole par des partisans du milliardaire républicain, Twitter a suspendu puis supprimé le profil de Donald Trump. Le réseau s'est aussi purgé de nombreux comptes extrémistes qui le soutenaient, dont 70.000 affiliés à la mouvance conspirationniste QAnon.
L'éviction de Donald Trump, dont le compte était suivi par 88 millions d'abonnés, n'a pas été du goût de ses fans, ni de certains défenseurs des libertés en ligne, qui y ont vu le signe d'un pouvoir démesuré des plateformes.
Mais "l'augmentation moyenne du nombre d'utilisateurs quotidiens dits +monétisables+ fin janvier était supérieure à la moyenne historique des quatre dernières années", a rassuré le patron.
"Nous nous attendons à une croissance d'environ 20% sur un an" pour le trimestre en cours.
Ces propos étaient très attendus car le modèle économique de Twitter repose sur la publicité, qui se vend d'autant plus cher que les usagers sont nombreux et actifs sur la plateforme.
"La vie sans Trump se révèle être non seulement moins énervante mais aussi beaucoup moins dommageable pour le réseau social que nombre d'entre nous l'aurait pensé", a réagi l'analyste Rob Enderle du Enderle Group.
"Il attirait beaucoup d'audience, mais c'était très concentré sur lui. Je ne suis pas sûr que les gens lisaient les pubs".
Le réseau des gazouillis est parvenu à une fréquentation quotidienne de 192 millions d'usagers dits "monétisables", en moyenne, au quatrième trimestre de 2020, soit un bond de 27% en un an.
"Twitter a terminé une année 2020 turbulente avec une bonne performance au quatrième trimestre. Les améliorations techniques ont amélioré l'expérience des utilisateurs et ont été payantes", a commenté Nazmul Islam, analyste chez eMarketer.
Le groupe californien a dépassé les attentes du marché avec près d'1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires généré d'octobre à décembre 2020 (contre 1 milliard sur la même période en 2019).
Il en a ressorti 222 millions de dollars de bénéfice net (+87%) et 252 millions de bénéfice opérationnel, un record.
Mais ses dépenses grimpent aussi. Elles ont progressé de 21% au quatrième trimestre, et devraient encore enfler de 25% sur l'année 2021, "étant donné les décisions en termes d'embauches et d'investissements des dernières années", précise le groupe dans un communiqué.
La plateforme a lancé de nouveaux produits l'année dernière, dont les "fleets", des messages qui disparaissent au bout de 24 heures, et prépare de nouvelles fonctionnalités, notamment des salons "audio" de conversations en direct et de potentiels tweets vocaux.
Elle travaille aussi à de nouvelles formes de modération, plus "décentralisées" après une année d'échanges particulièrement tendus à cause de la politique américaine.
"Au final, ce sont les personnes qui utilisent Twitter qui sont les mieux placées pour résoudre ce problème", a indiqué Jack Dorsey.
Fin janvier, le réseau a lancé Birdwatch, en phase de test. Ce nouvel outil de lutte contre la désinformation permet aux participants de signaler des messages et d'y ajouter des notes de contexte qui seront lisibles uniquement sur un site séparé dans un premier temps.
L'entreprise voudrait aussi donner du pouvoir aux usagers sur les algorithmes qui guident leur navigation.
"On peut imaginer que vous classiez les algorithmes en fonction de ce que vous voulez voir", a suggéré le patron.
Twitter est aussi revenu sur la menace que représente la dernière mise à jour du système d'exploitation mobile iOS d'Apple pour les réseaux sociaux gratuits.
Prévue pour cette année, elle va obliger les éditeurs d'applications à demander aux usagers leur permission pour les suivre à la trace et à leur préciser quelles données ils récoltent sur eux à des fins de ciblage publicitaire.
"Si la pandémie continue de reculer et que l'impact des changements liés à iOS 14 sont modérés, nous tablons sur une croissance plus rapide de nos revenus que de nos dépenses en 2021", note le groupe.
Pour le premier trimestre en cours, Twitter prévoit un chiffre d'affaires compris entre 940 millions et 1,04 milliard de dollars.
juj/dax
Twitter a atteint les 192 millions d'utilisateurs quotidiens pendant les élections américaines #
Twitter comptait 192 millions d'utilisateurs quotidiens dits "monétisables" au quatrième trimestre de 2020, soit un bond de 26% en un an, pendant la période de l'élection présidentielle aux Etats-Unis qui a passionné le public américain et étranger.
C'était avant que le réseau social ne bannisse Donald Trump en janvier, pour incitations répétées à la violence, et ne se purge de nombreux comptes extrémistes qui soutenaient l'ex-président des Etats-Unis, dont 70.000 comptes affiliés à la mouvance conspirationniste QAnon.
La plupart des grandes plateformes ont pris des mesures sans précédent en janvier, après que des partisans du milliardaire républicain ont envahi le Capitole pendant la cérémonie de certification des résultats de l'élection, choquant le pays et ternissant son image à l'international.
"On pourrait assister à un ralentissement de la croissance du nombre d'utilisateurs lors du trimestre en cours à cause des retraits de comptes et des défections de ceux qui s'opposent aux évictions", a commenté Nazmul Islam, analyste chez eMarketer.
"Mais les recettes publicitaires devraient rester élevées (...) grâce aux investissements de Twitter dans son infrastructure".
Le titre de Twitter oscillait lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse, montant jusqu'à plus de 3,4% après avoir baissé.
Le réseau des gazouillis a dépassé les attentes du marché avec près d'1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires généré d'octobre à décembre 2020 (contre 1 milliard sur la même période en 2019).
Il en a ressorti 222 millions de dollars de bénéfice net (+87%) et 252 millions de bénéfice opérationnel, un record.
Mais ses dépenses grimpent aussi. Elles ont progressé de 21% au quatrième trimestre, et devraient encore enfler de 25% sur l'année 2021, "étant donné les décisions en termes d'embauches et d'investissements des dernières années", précise le communiqué du groupe.
Le réseau social basé à San Francisco, qui a offert à ses employés de travailler de chez eux indéfiniment, prévoit d'augmenter ses effectifs de 20% en 2021, avec des ingénieurs, des spécialistes du design, et d'autres domaines stratégiques.
Il doit aussi finir en 2021 la construction d'un centre de données dont les serveurs permettront de mieux garantir la stabilité du service.
Pour le premier trimestre en cours, Twitter table sur un chiffre d'affaires compris entre 940 millions et 1,04 milliard de dollars.
juj/dho/la
Twitter a atteint les 192 millions d'utilisateurs quotidiens fin 2020, pendant les élections américaines #
Twitter comptait 192 millions d'utilisateurs quotidiens dits "monétisables" au quatrième trimestre de 2020, soit un bond de 26% en un an, pendant la période de l'élection présidentielle aux Etats-Unis qui a passionné le public américain et étranger.
C'était avant que le réseau social ne bannisse Donald Trump en janvier, pour incitations répétées à la violence, et ne se purge de nombreux comptes extrémistes qui soutenaient l'ex président des Etats-Unis. Le titre de Twitter oscillait lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse, montant par exemple jusqu'à plus de 2%.
juj/lo/sr