La pandémie a fait reculer les ventes de Kronenbourg #
Le brasseur alsacien Kronenbourg a vu ses ventes reculer de 10% en 2020, du fait de la pandémie et de ses conséquences pour les débits de boissons et les festivals, ainsi que sur la bonne marche de sa brasserie d'Obernai.
"Le ralentissement du marché global de la bière s'est traduit chez Kronenbourg SAS par une baisse de 10% des ventes totales (5,1 millions d'hectolitres) pour atteindre un chiffre d'affaires total de 844 millions d'euros" en 2020, a indiqué le groupe mercredi.
Les ventes ont logiquement reculé de 48% en consommation hors domicile, du fait de la fermeture pendant 23 semaines des débits de boissons et de la mise à l'arrêt des festivals, lesquels représentent à eux deux 30% des ventes du groupe en année normale, selon son PDG Rémy Sharps.
En grande distribution, les ventes du groupe "sont restées stables", selon M. Sharps.
"Il y a à peu près entre un tiers et 40% du volume qui n'est pas vendu en 'café, hôtel, restaurant' que vous retrouvez en grande distribution, en moyenne sur les 15 derniers mois", a indiqué le PDG.
Mais la brasserie d'Obernai, touchée en plein coeur par une situation sanitaire critique dans la région Grand-Est, n'a pas pu tirer profit de cette compensation partielle.
A compter de mi-mars 2020 et pendant six à huit semaines, la "plus grosse brasserie d'Europe" n'a pas pu tourner à plein régime pour fournir pleinement ses clients de la grande distribution.
"La moitié des lignes de production" ont été mises à l'arrêt lors des deux premières semaines de confinement, a indiqué M. Sharps, estimant la perte de production à environ 200.000 hectolitres de bière.
ngu/myl/pn/clp/
Flunch: la direction veut "régénérer" la marque et trouver des repreneurs pour 57 restaurants #
La direction de Flunch, placée en janvier sous procédure de sauvegarde alors que l'enseigne était durement frappée par la crise sanitaire, annonce avoir bon espoir de trouver des repreneurs pour les 57 restaurants qu'elle veut céder et lancer un plan pour "régénérer" la marque.
"La marque n'est pas morte, il faut la régénérer", a souligné le directeur général de l'enseigne de restauration, Thierry Bart, dans un entretien à l'AFP mercredi, assurant que "Flunch fonctionnait encore bien avant le Covid".
Né en 1971 et appartenant à la constellation d'entreprises du groupe Mulliez, Flunch revendiquait 55 millions de clients servis par an avant le Covid dans 227 restaurants mais a vu son chiffre d'affaires s'effondrer en 2020.
La direction a annoncé vouloir se séparer de 57 restaurants sur les quelque 160 qu'elle détient en propre, et non pas en franchise. Ils emploient environ 1.200 salariés.
"On a sollicité une procédure de sauvegarde pour gagner du temps en termes de trésorerie, en attendant la réouverture (prévue le 9 juin, ndlr) et on a organisé un plan de reprise pour ces 57 restaurants parce que notre ambition, c'est de sauver le maximum d'emplois" a souligné mercredi M. Bart.
Il fait état de 25 dossiers de reprise déposés par des salariés ou des franchisés de Flunch et de 38 émanant d'enseignes extérieures. "Je pense qu'on va réduire le PSE (Plan de sauvegarde de l'emploi) de façon déterminée", a-t-il ajouté, sans avancer de chiffre.
Flunch offrira des conditions préférentielles à ses collaborateurs, avec entre autres un rachat du fonds de commerce pour un euro symbolique et des formations.
Le dirigeant promet une "transformation à 360 degrés" de l'enseigne à travers le développement de trois nouveaux concepts de restaurants, dont un de "food hall" regroupant divers kiosques, le développement de la livraison et de la vente à emporter.
Les syndicats affichent leur scepticisme sur ces projets tout en dénonçant les "discussions très âpres" dans le cadre du PSE.
Parmi les enseignes extérieures qui pourraient reprendre des restaurants figurent "KFC, McDonald's, Domino's Pizza", énumèrent Grégory Dubois (CFDT) et Philippe Delahaye (CFE-CGC), craignant qu'elles emploient "moins de personnel, avec des contrats plus précaires".
Quant aux "petits" repreneurs en interne, les délégués syndicaux doutent qu'ils aient les moyens d'investir pour développer ces concepts.
Selon un rapport d'audit présenté au Comité social et économique, le groupe Mulliez a privilégié ces dernières années le versement de dividendes et le développement d'autres marques qu'il détient plutôt que d'investir dans Flunch.
bj/rl/eb
Stellantis: la pénurie de puces électroniques freine la production mais pas encore les ventes #
La pénurie mondiale de puces électroniques a empêché le groupe automobile Stellantis, issu de la récente fusion de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler, de produire 190.000 véhicules au premier trimestre, mais n'a pas encore freiné ses ventes, a annoncé le constructeur mercredi.
Le groupe aux 14 marques prévient que le manque de semi-conducteurs, fabriqués principalement en Asie et sujets à une demande mondiale exceptionnelle, va perdurer et avoir un "impact supérieur" au deuxième trimestre, avant une amélioration au deuxième semestre. La crise devrait se poursuivre jusqu'en 2022.
Les usines ne peuvent fonctionner en l'absence de ces composants devenus omniprésents dans les voitures, et soumis à la concurrence très forte de l'informatique depuis que la pandémie a accéléré l'essor du télétravail et des loisirs à la maison.
Chez Renault, elle devrait impacter les volumes d'au moins 100.000 véhicules cette année. Ford a également annoncé qu'il diminuerait de moitié sa production du deuxième trimestre.
Au Brésil, en France ou aux Etats-Unis, huit des 44 usines du groupe Stellantis sont actuellement touchées par cette pénurie, entre la suspension de certaines lignes de montage et des jours de chômage technique, a indiqué le directeur financier du groupe, Richard Palmer.
La visibilité est "très limitée" et le groupe gère la situation "au jour le jour", en fonction du stock et de la rentabilité des modèles, a souligné la direction de Stellantis.
Les usines testent des options se voulant plus "flexibles et standardisées": la nouvelle Peugeot 308 a par exemple retrouvé des cadrans à aiguilles pour remplacer les compteurs numériques, introuvables.
"Ca nous permet également d'agir plus efficacement, avec un stock plus faible", ce qui est bon pour la "rentabilité" du groupe, a précisé Richard Palmer.
Au niveau mondial, Stellantis a présenté un chiffre d'affaires net de 34,3 milliards d'euros au premier trimestre, en hausse de 14% par rapport au premier trimestre 2020, qui avait été freiné sur sa fin par les premières mesures sanitaires liées au Covid-19.
Le groupe a vendu au premier trimestre 1,567 million de véhicules (+11%), un chiffre reflétant "la forte demande des consommateurs et la bonne performance des ventes au détail", selon Stellantis. Il a confirmé son objectif de marge opérationnelle pour 2021, autour de 5%.
La Bourse a salué ces chiffres: l'action du groupe était en hausse mardi à 10H00 GMT à Milan (+2,94%) et à Paris (+2,76%).
La reprise chez Stellantis reste plus faible que celle du marché automobile mondial (+22%), note Matthias Heck, analyste chez Moody's. Le groupe est peu présent sur le marché chinois, qui mène la relance, explique-t-il.
Les stocks du groupe ont particulièrement baissé en Amérique du Nord, freinant les ventes (-4%), sans endommager le chiffre d'affaires qui est en hausse de 9%, poussé par la vente de véhicules de gamme supérieure.
Le gouvernement américain a pressé les fabricants de puces taïwanais d'approvisionner ses constructeurs. L'Europe envisage aussi des investissements considérables pour sortir de sa dépendance à l'Asie, mais cela n'aura pas d'impact à court ou moyen terme.
Le groupe taïwanais TSMC, le leader mondial du lecteur, a indiqué qu'il espérait satisfaire les exigences "minimales" des constructeurs automobiles d'ici le mois de juin.
Né en janvier, Stellantis se place sur la plus haute marche du podium en Europe en terme de véhicules vendus (+11% sur ce continent), même devant Volkswagen, lorsqu'on inclut véhicules particuliers et utilitaires, avec des bonnes ventes pour les nouvelles Peugeot 208 et 2008, Citroën C4 et Opel Mokka.
Maserati, dont les chiffres sont présentés à part, a vu ses ventes exploser au niveau mondial (+74%, avec 5.400 exemplaires) avec le renouvellement de sa gamme, en particulier en Chine.
Les perspectives de Stellantis sont inchangées pour l'année 2021 sur ses principaux marchés, avec un rebond prévu de 10% en Europe, 8% en Amérique du Nord et 20% en Amérique du Sud.
Stellantis prévoit de présenter une stratégie d'électrification de sa gamme début juillet, et ses projets pour la Chine fin 2021.
tsz/pn/abx
Stellantis: la pénurie de puces électroniques freine la production mais pas encore les ventes #
La pénurie mondiale de puces électroniques a empêché le groupe automobile Stellantis, issu de la récente fusion de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler, de produire 190.000 véhicules au premier trimestre, mais n'a pas encore freiné ses ventes, a annoncé mercredi le constructeur.
Le groupe aux 14 marques prévient que le manque de semi-conducteurs, fabriqués principalement en Asie et sujets à une demande mondiale exceptionnelle, va perdurer et avoir un "impact supérieur" au deuxième trimestre, avant une amélioration au deuxième semestre. La crise devrait se poursuivre jusqu'en 2022.
Comme chez General Motors ou Volkswagen, les usines ne peuvent fonctionner en l'absence de ces composants devenus omniprésents dans les voitures, et soumis à la concurrence très forte de l'informatique depuis que la pandémie a accéléré l'essor du télétravail et des loisirs à la maison.
Chez Renault, elle devrait impacter les volumes d'au moins 100.000 véhicules cette année. Ford a également annoncé qu'il diminuerait de moitié sa production du deuxième trimestre.
Au Brésil, en France ou aux Etats-Unis, huit des 44 usines du groupe Stellantis sont actuellement touchées par cette pénurie, entre la suspension de certaines lignes de montage et des jours de chômage technique, a indiqué le directeur financier du groupe, Richard Palmer.
La visibilité est "très limitée" et le groupe gère la situation "au jour le jour", en fonction du stock et de la rentabilité des modèles, a souligné la direction de Stellantis.
Les usines testent des options se voulant plus "flexibles et standardisées": la nouvelle Peugeot 308 a par exemple retrouvé des cadrans à aiguilles pour remplacer les compteurs numériques, introuvables.
"Ca nous permet également d'agir plus efficacement, avec un stock plus faible", ce qui est bon pour la "rentabilité" du groupe, a précisé Richard Palmer.
Au niveau mondial, Stellantis a présenté un chiffre d'affaires net de 34,3 milliards d'euros au premier trimestre, en hausse de 14% par rapport au premier trimestre 2020, qui avait été freiné sur sa fin par les premières mesures sanitaires liées au Covid-19.
Le groupe a vendu au premier trimestre 1,567 million de véhicules (+11%), un chiffre reflétant "la forte demande des consommateurs et la bonne performance des ventes au détail", selon Stellantis.
La Bourse a salué ces chiffres: le groupe était en hausse mardi à 10H à Milan (+2,94%) et à Paris (+2,69%).
Les stocks ont particulièrement baissé en Amérique du Nord, freinant les ventes (-4%), sans endommager le chiffre d'affaires qui est en hausse de 9%, poussé par la vente de véhicules de gamme supérieure.
Le gouvernement américain a pressé les fabricants de puces taïwanais d'approvisionner ses constructeurs. L'Europe envisage aussi des investissements considérables pour sortir de sa dépendance à l'Asie, mais cela n'aura pas d'impact à court ou moyen terme.
Le groupe taïwanais TSMC, le leader mondial du lecteur, a indiqué qu'il espérait satisfaire les exigences "minimales" des constructeurs automobiles d'ici le mois de juin.
Né en janvier, Stellantis se place sur la plus haute marche du podium en Europe en terme de véhicules vendus (+11% sur ce continent), même devant Volkswagen, lorsqu'on inclut véhicules particuliers et utilitaires, avec des bonnes ventes pour les nouvelles Peugeot 208 et 2008, Citroën C4 et Opel Mokka.
Maserati, dont les chiffres sont présentés à part, a vu ses ventes exploser au niveau mondial (+74%) avec le renouvellement de sa gamme, en particulier en Chine.
Les perspectives de Stellantis sont inchangées pour l'année 2021 sur ses principaux marchés, avec un rebond prévu de 10% en Europe, 8% en Amérique du Nord et 20% en Amérique du Sud.
Pour doper ses ventes, le groupe compte dans les prochains mois sur le lancement de sa nouvelle Opel Mokka, et la production des Jeep Wagoneer et Grand Cherokee.
Stellantis prévoit également de présenter sa stratégie d'électrification de sa gamme début juillet, et ses projets pour la Chine fin 2021.
Ayant déjà bien entamé sa transition, grâce aux ventes hybrides et électriques de Peugeot, notamment, le groupe pourrait passer dès cette année sous la barre des normes européennes d'émissions de CO2.
Le groupe pourrait ainsi se passer dès cette année des crédits d'émissions de CO2 qu'il achetait à Tesla, a annoncé mardi dans Le Point le directeur général de Stellantis, Carlos Tavares.
tsz/ico/abx
Stellantis freiné par la pénurie de semi-conducteurs #
La pénurie mondiale de semi-conducteurs a empêché le groupe automobile Stellantis, issu de la fusion de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler, de produire 190.000 véhicules au premier trimestre, mais n'a pas freiné ses ventes, a annoncé mercredi le deuxième constructeur européen.
Le groupe aux 14 marques (dont Jeep, Maserati...) prévient que le manque de puces électroniques, fabriquées principalement en Asie et sujettes à une demande mondiale exceptionnelle, va perdurer et avoir un "impact supérieur" au deuxième trimestre, avant une amélioration au deuxième semestre.
Comme chez Ford, GM ou Volkswagen, les usines ne peuvent fonctionner en l'absence de ces composants devenus omniprésents dans les voitures, et soumis à la concurrence très forte de l'informatique depuis que la pandémie a accéléré l'essor du télétravail et des loisirs à la maison.
Au Brésil, en France ou aux Etats-Unis, huit des 44 usines du groupe Stellantis sont actuellement touchées par cette pénurie, entre la suspension de certaines lignes de montage et des jours de chômage technique, a indiqué le directeur financier du groupe, Richard Palmer, lors d'une conférence de presse.
La visibilité est "très limitée" et le groupe gère la situation "au jour le jour", en fonction du stock et de la rentabilité des modèles, a souligné la direction de Stellantis.
Les usines testent des options se voulant plus "flexibles et standardisées": la nouvelle Peugeot 308 a par exemple retrouvé des compteurs analogiques pour remplacer les compteurs numériques, introuvables.
"Ca nous permet également d'agir plus efficacement, avec un stock plus faible", ce qui est bon pour la "rentabilité" du groupe, a précisé Richard Palmer.
Ces stocks ont particulièrement baissé en Amérique du Nord, freinant les ventes (-4%), sans endommager le chiffre d'affaires qui est en hausse de 9%, poussé par la vente de véhicules de gamme supérieure.
Au niveau mondial, Stellantis a présenté un chiffre d'affaires net de 34,3 milliards d'euros au premier trimestre, en hausse de 14% par rapport au premier trimestre 2020, qui avait été freiné sur sa fin par les premières mesures sanitaires liées au Covid-19.
Le groupe a vendu au premier trimestre 1,567 million de véhicules (+11%), un chiffre reflétant "la forte demande des consommateurs et la bonne performance des ventes au détail", selon Stellantis.
Le nouveau groupe se place sur la plus haute marche du podium en Europe en terme de véhicules vendus (+11% sur ce continent), même devant Volkswagen, lorsqu'on inclut véhicules particuliers et utilitaires, avec des bonnes ventes pour les nouvelles Peugeot 208 et 2008, Citroën C4 et Opel Mokka.
Maserati, dont les chiffres sont présentés à part, a vu ses ventes exploser (+74%) avec le renouvellement de sa gamme, en particulier en Chine.
Les perspectives de Stellantis sont inchangées pour l'année 2021 sur ses principaux marchés, avec un rebond prévu de 10% en Europe, 8% en Amérique du Nord et 20% en Amérique du Sud.
Pour doper ses ventes, le groupe compte dans les prochains mois sur le lancement de sa nouvelle Opel Mokka, et la production des Jeep Wagoneer et Grand Cherokee.
Stellantis prévoit également de présenter sa stratégie d'électrification de sa gamme début juillet, et ses projets pour la Chine fin 2021.
tsz/pn/nth
La pénurie de semi-conducteurs a empêché Stellantis (PSA-Fiat-Chrysler) de produire 190.000 véhicules au 1er trimestre #
La pénurie mondiale de semi-conducteurs a empêché le groupe automobile Stellantis, issu de la fusion de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler, de produire 190.000 véhicules au premier trimestre, mais n'a pas freiné ses ventes, a annoncé mercredi le deuxième constructeur européen.
Le groupe aux 14 marques (dont Jeep, Maserati...) prévient que le manque de puces électroniques, fabriquées principalement en Asie et sujettes à une demande mondiale exceptionnelle, va perdurer et avoir un "impact supérieur" au deuxième trimestre, avant une amélioration au deuxième semestre.
Comme chez Ford ou Volkswagen, les usines ne peuvent fonctionner en l'absence de ces composants devenus omniprésents dans les voitures, et soumis à la concurrence très forte de l'informatique depuis que la pandémie a accéléré l'essor du télétravail et des loisirs à la maison.
Huit des 44 usines du groupe Stellantis sont actuellement touchées par cette pénurie, entre la suspension de certaines lignes de montage et des jours de chômage technique, a indiqué le directeur financier du groupe, Richard Palmer, lors d'une conférence de presse.
"Nos stocks ont baissé, particulièrement en Amérique du Nord", a indiqué M. Palmer. "Ca nous permet également d'agir plus efficacement, avec un stock plus faible", ce qui est bon pour la "rentabilité" du groupe, a précisé le directeur financier.
Le groupe a présenté un chiffre d'affaires net de 34,3 milliards d'euros au premier trimestre, en hausse de 14% par rapport au premier trimestre 2020, qui avait été freiné sur sa fin par les premières mesures sanitaires liées au Covid-19.
Stellantis a vendu au premier trimestre 1,567 million de véhicules, un chiffre reflétant "la forte demande des consommateurs et la bonne performance des ventes au détail", selon Stellantis, et se place sur la plus haute marche du podium en Europe, lorsqu'on inclut véhicules particuliers et utilitaires.
Ses perspectives sont inchangées pour l'année 2021 sur ses principaux marchés, avec un rebond prévu de 10% en Europe, 8% en Amérique du Nord et 20% en Amérique du Sud.
Pour doper ses ventes, le groupe compte dans les prochains mois sur le lancement de sa nouvelle Opel Mokka, et la production des Jeep Wagoneer et Grand Cherokee.
tsz/ico/abx
La pénurie de semi-conducteurs a empêché Stellantis (PSA-Fiat-Chrysler) de produire 190.000 véhicules au 1er trimestre tsz/ico/abx #
La pénurie mondiale de semi-conducteurs a empêché le groupe automobile Stellantis, issu de la fusion de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler, de produire 190.000 véhicules au premier trimestre, a annoncé mercredi le deuxième constructeur européen, qui a été contraint comme ses concurrents d'arrêter temporairement des usines.
Le groupe prévient que le manque de puces électroniques, fabriquées principalement en Asie et sujettes à une demande mondiale exceptionnelle, va perdurer et avoir un "impact supérieur" au deuxième trimestre, avant une amélioration au deuxième semestre.
tsz/ico/abx