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  • Centrafrique: Macron condamne une nouvelle fois les tentatives de déstabilisation (fr)
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  • Emmanuel Macron s'est entretenu vendredi avec son homologue centrafricain Faustin Archange Touadéra pour réitérer sa "ferme condamnation des tentatives des groupes armés et de certains leaders politiques", dont (l'ex-président) François Bozizé, visant à faire obstruction" au scrutin présidentiel, a indiqué l'Elysée samedi.

    "A la demande du Président Toudadéra", le président de la République a aussi ordonné la réalisation "d'une seconde mission de survol du territoire centrafricain par des avions de chasse", après celle effectuée le 23 décembre.

    Cette mission, qui s'est déroulée samedi, marque, selon l'Elysée, "la solidarité de la France avec le peuple centrafricain et sa condamnation de la poursuite des tentatives de déstabiliser le pays menées par des groupes armés".

    Dix candidats de l'opposition ont demandé l'annulation de la réélection du président Faustin Archange Touadéra dans le scrutin présidentiel du 27 décembre qu'ils jugent "discrédité", n'ayant permis qu'à un électeur sur deux de pouvoir voter dans ce pays.

    Ces élections se sont déroulées dans un pays où une guerre civile, initiée en 2013 et très meurtrière jusqu'en 2018 avant de baisser en intensité, a été ravivée depuis près de trois semaines par l'annonce d'une offensive rebelle pour empêcher le scrutin.

    Selon le communiqué de l'Elysée, M. Macron a appelé "au respect des décisions à venir de la Cour constitutionnelle, tout en soulignant la nécessité d'un dialogue politique ouvert et inclusif".

    MM. Macron et Touadéra ont également "renouvelé leur soutien aux éléments de la mission des Nations Unies, la Minusca", chargés de contribuer à la protection des civils, au processus électoral et à la stabilisation du pays.

    La France compte quelque 300 soldats en Centrafrique, qui mènent des actions de formation des forces armées nationales et assurent si nécessaire un appui à la Minusca, forte de 11.500 hommes.

    En décembre 2013, après le coup d'Etat contre le président Bozizé et l'embrasement qui avait suivi, Paris avait déployé plus d'un millier de soldats de l'opération Sangaris, sous mandat de l'ONU, pour rétablir la sécurité. Sangaris, qui a compté jusqu'à 1.600 hommes, est restée en place jusqu'en 2016.

    jk/nm

    (fr)
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